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Témoignages

La PMA c’est des montagnes russes émotionnelles, ça nous prend aux tripes et ça prend beaucoup de place ! – « F »

Après 1 an d’essai bébé infructueux, nous avons été dirigé vers la polyclinique et plus précisément vers le Dr M. qui a été d’une douceur extrême ( pour moi qui ai toujours eu des douleurs lors d’examens gynécologiques c’était important ) et très pragmatique. Au cours des différents examens, nous avons toujours été respectés, accompagnés et mon mari a été impliqué également ce qui fait que je n’avais pas l’impression d’être seule dans ce parcours.
Après 4 inséminations qui se sont soldées par un échec, nous passons en fiv, étape un peu plus « sérieuse » puisque le protocole est plus lourd et nécessite une anesthésie générale. Mais encore une fois on se sent accompagnés et y allons donc plein d’espoir.
Les groupes d’échange nous ont fait beaucoup de bien, nous n’avons personne dans notre entourage qui est passé par là et ça fait du bien de pouvoir en parler à des gens qui vivent la même chose.
La première fiv ne donnera qu’un embryon. Le transfert ne s’accroche pas. Retour à la case départ. J’avais l’impression d’avoir mis toutes les chances de mon côté pour cette fiv, régime alimentaire, ostéopathie, acupuncture…
Les quelques mois imposés par le Dr M. avant de repartir sur une fiv me font l’effet d’une douche froide puisque j’ai l’impression de perdre du temps. Mais finalement, ces mois sont nécessaires pour se remettre physiquement et psychologiquement et pouvoir envisager une nouvelle fiv dans de bonnes conditions.
La deuxième fiv est plus facile puisqu’on connait déjà le protocole. Cette fois ci 2 embryons. Le premier transfert, transfert frais ne fonctionne pas. J’étais découragée et à bout. J’ai voulu faire le deuxième transfert à la suite pour en finir avec cette fiv et pouvoir me ressourcer pendant l’été.
Tous les transferts se passent bien, même si ce n’est pas forcément notre médecin qui le fait. Le fait que les transfert se fassent dans un lieu dédié et qu’on soit pas mélangé aux femmes enceintes ou autre est quand même grandement appréciable. On sait où aller et qui on doit voir. La sécurité est également primordiale puisque les identités sont vérifiées pour les deux parents avant les transferts.
Et finalement, une dizaine de jours après, mon intuition me fait faire un test de grossesse urinaire la veille de la prise de sang … Qui s’avère être positif !
Le premier test positif de ce long parcours… Qui sera confirmé par les prises de sang, échos etc.
La grossesse est compliquée, l’accouchement aussi mais on mesure notre chance. Finalement notre petite princesse est arrivée fin février !
Je sais combien on peut se décourager quand on est en plein dedans et qu’on n’en voit pas le bout.
La PMA c’est des montagnes russes émotionnelles, ça nous prend aux tripes et ça prend beaucoup de place !
Autant ça peut être contraignant et épuisant comme parcours, autant on le referait sans hésiter quand on regarde notre bébé.
Tout le personnel a été génial avec nous et on sera éternellement reconnaissants… Et qui sait, on sera peut être bientôt de retour pour agrandir la famille !
« F… »

Le bonheur existe et il se rapproche de jour en jour – « C »

Je suis rentrée dans cette famille de la PMA il y a 4 ans. Après un an d’essais naturels, on a eu certains doutes et on a voulu faire un bilan à la polyclinique.
Après différents examens, on découvre que j’ai le SOPK. Rien de bien méchant, mais un dérèglement qui ne me permet pas d’ovuler correctement.
Après une période de stimulation ovarienne qui a duré plus d’un an et demi.
Nous sommes arrivés dans le parcours FIV. Après une ponction, 9 embryons ont pris vie.
C’est au bout du 4ème transfert que notre petite merveille s’est installée.
Courage vous, vous n’êtes pas seuls, le bonheur existe et il se rapproche de jour en jour.
« C… »

Le moral en prend un coup quand tous les mois les règles arrivent – « C »

Après plus de 8 ans d’attente pour avoir notre enfant , nous avons décidé d’aller voir Dr M au centre PMAtlantique qui nous a très bien reçu et tout expliqué.
Et là, c’est le début de tonnes d’examens. Le moral en prend un coup quand tous les mois les règles arrivent. Puis un jour, traitement, ponction et transfert, on était en attente des résultats de la prise de sang, et là, surprise après la FIV prise de sang avec les taux HCG positifs . Grosse surprise les larmes de bonheur étaient au rdv même si la peur était toujours là. On a vécu des moments de doutes, de stress mais le personnel du centre pma était toujours là pour nous. Le 27 octobre, Ilona notre fille pointe son bout du nez. Elle fait notre bonheur au quotidien. Il faut toujours espérer. Et Dr M ainsi que toute l’équipe fait partie de notre parcours et surtout fera partie de l’histoire d’Ilona quand elle sera en âge de comprendre. Un énorme merci à tous et surtout toujours y croire car la naissance a été notre plus beau jour.

« C… »

Noël approche et je suis dans une déprime totale … – « A »

Il y a 5 mois vendredi venait au monde notre miracle, notre espoir notre combat depuis plus de 5 ans, notre deuxième merveille.
Après des examens , des prises de sang, on me déclare SOPK … Aucune grossesse possible spontanée malgré ma première fille qui a maintenant 7 ans.
J’enchaîne les centres PMA de ma région où l’on me parle que de mon poids … On s’acharne à me donner uniquement des traitements qui ne fonctionnent pas et à me dire de perdre du poids.
J’ai donc perdu 4 ans .
Je pousse la porte du docteur B en septembre 2022 de la polyclinique. Désespérée, j’ai 30 ans et ma deuxième merveille n’est toujours pas la. Noël approche et je suis dans une déprime totale …
Il a prononcé le mot FIV les yeux se sont remplis de larme et j’ai compris que LUI allait se battre pour nous donner ce que l’on attendait depuis très longtemps.
En effet Janvier tout s’est enchaîné le traitement de la FIV a débuté ..Docteur B a été d’une écoute, d’un professionnalisme, d’une bienveillance dont on se souviendra toujours.
13 février ponction 13 ovules ponctionnés, le 18  février on me transfert mon miracle , j’apprends ma grossesse par la suite ..
Aujourd’hui notre Nuno est la preuve que le miracle existe et, dans ce centre la bienveillance de plus, il mène avec nous le combat pour donner la vie alors encore merci ❤️.
« A… »

Mon parcours PMA – « M »

Quel choc lorsque l’on m’annonce en juin 2022 que je suis atteinte d’endométriose, et qu’avoir un
enfant naturellement sera très difficile !
Pour en revenir au début de notre histoire, mon mari et moi avons émis le désir d’avoir un enfant en
octobre 2021. Un mois, deux mois puis trois mois écoulés et rien… On commence à se poser des
questions : y a-t-il un problème ?
En mai 2022, je décide d’aller voir une sage-femme, je lui explique les différentes douleurs que je
ressens depuis toujours, je lui parle de notre désir d’avoir un enfant …
« Avez-vous pensé à l’endométriose ? » : voilà son retour…
Personnellement, j’ai toujours eu des douleurs pendant mes règles, toujours été mal pendant mon
cycle, ventre gonflé, nauséeuse …
Avant d’avoir l’envie d’être maman, j’ai beaucoup consulté mais on ne m’a jamais rien trouvé. Donc
psychologiquement, on se dit que tout va bien.
Bien sûr, comme tout le monde, on se renseigne sur internet, on voit qu’un des premiers soucis c’est la
fertilité, on se dit que si c’est ça on ne sera jamais parent, on commence à s’inquiéter…
Arrive le rendez-vous de l’échographie vaginale. Verdict : « vous êtes atteinte d’endométriose » … La
première chose qui m’est venue à l’esprit, c’est comment l’annoncer à mon mari, comment lui dire qu’il
ne sera peut-être jamais papa… Ce moment restera à jamais gravé en moi.
Malgré tout, le désir d’être parents est tellement fort qu’on y croit, on se dit qu’on y arrivera, qu’à deux
nous sommes forts. On était sûrs qu’un jour ou l’autre notre vœu se réaliserait.
Nous sommes donc suivis au Centre PMA – Santé Atlantique, par le docteur M. Dans un
premier temps, je me suis fait suivre pour l’endométriose ; en parallèle il nous a proposé d’ouvrir un
dossier en PMA. C’est un docteur très rassurant et réconfortant.
Avant le parcours PMA, il faut enlever les lésions d’endométriose : l’opération a eu lieu le 17 août 2022.
C’est plus long que prévu, il s’agit d’endométriose profonde, mon appendice doit aussi être retirée. La
convalescence se passe très bien.
Après un mois de repos, je commence les injections dans le cadre de la PMA : se piquer tous les soirs,
des rendez-vous tous les deux jours, parcours épuisant… Qu’est ce qui me fait tenir ? C’est mon mari, il
est d’un soutien plus que parfait.
Le 20 octobre 2022 : jour de la ponction, quel stress ! Et quelle joie en même temps, hâte de voir le
résultat…
L’intervention se passe bien, 17 ovocytes prélevés, plus qu’à attendre la suite.
Le labo nous contacte toutes les 48h une fois les ovocytes matures fécondés. Au bout de 4 jours, il reste
5 embryons de bonne qualité.
Puis, voici le jour « J », jour de l’implantation. On y croit, on se dit que c’est la bonne…
C’est fait, plus qu’à patienter… Au bout de 5 jours, l’espoir s’amoindrit : perte de sang ! J’annonce à mon
mari que c’est foutu, je me dis que c’est ma faute, que j’ai dû faire mal quelque chose… Mais en même
temps, je me dis que c’est bizarre aussi tôt. On décide d’aller aux urgences, on m’ausculte et on me
redonne espoir, on me dit que ce ne sont pas mes règles, qu’il y a une petite blessure peut être due à
l’intervention, qu’il faut patienter quelques jours et faire un test.
On attend et on fait un test : la petite barre est bien là, je suis bel et bien enceinte, quelle sensation
bizarre, on a du mal à y croire, je file faire ma prise de sang qui s’avère bien positive.
Mon mari et moi pleurons de joie. « On y est arrivés, tu vois ma chérie », me dit-il, « On a réussi ! »
48h après, comme le veut le protocole, je file faire ma deuxième prise de sang, nous attendons, que le
temps fût long ! Mais quelle déception, la joie fût de courte durée… « Vous êtes en train de faire une
fausse couche, Madame ». Aïe, Aïe je n’avais pas envie d’y croire.
C’était tellement dur, le moral en prend un coup ! On en veut au monde entier : pourquoi cela nous
arrive ?!
Pas le choix, on pleure, on pleure, mais on redresse la pente ! On ne lâche rien, on finira par y arriver,
on se soutient mutuellement et on y croit.
Je me repose et prends une pause avant la seconde tentative.
Fin janvier 2023, on retente, on contacte le gynécologue et c’est reparti. Cette fois-ci, transfert d’un
embryon congelé.
La décongélation se passe bien et le transfert a lieu le 5 février 2023.
C’est reparti : l’attente avant la prise de sang… La peur d’un second échec est bien présente, mais je
continue à vire ma vie normalement.
1 jour, 2 jours, 1 semaine, on commence à se dire : et pourquoi pas ? Arrive le 14 février, jour de la
Saint Valentin et de la rencontre avec mon mari. Quelle serait ma joie de lui annoncer la bonne
nouvelle !
Je décide de faire un test urinaire : la barre est bien présente, comme la première fois. J’ai du mal à y
croire, je refais un second test et idem bien positif !
J’en parle à mon mari, heureux mais méfiant tout comme moi ! On décide d’attendre quelques jours
avant d’en refaire un qui s’avère toujours positif ! Je file faire la prise de sang qui est bien positive.
On a encore du mal à s’en réjouir, on compare avec notre première tentative. 48h après, je refais la
prise de sang : le taux a plus que doublé. 48h encore après, une troisième prise de sang, idem le taux
a bien doublé ! On se dit : « vraiment, vraiment ? Cette fois ci c’est la bonne ! ». J’appelle le centre PMA
qui m’a dit de refaire une prise de sang une semaine plus tard, mais me dit « Félicitations Madame,
c’est bien parti pour une grossesse ! ». Une semaine après, go faire la dernière prise de sang : le taux
avait explosé.
C’est parti pour enfin vivre ce que j’attendais, une grossesse. Je vais vraiment devenir maman, quelle
sensation bizarre et étrange à la fois. On est les plus heureux du monde.
Je vais vous épargner les détails de ma grossesse qui fût assez compliquée, mais mon bout de chou est
bel et bien parmi nous, il nous comble de bonheur de jour en jour.
Quand on le voit, on oublie le parcours du combattant qu’on a dû traverser pour l’avoir parmi nous. Né
le 3 octobre 2023.
Il est la preuve vivante qu’il ne faut jamais abandonner, rester soudés et y croire !
Je vous souhaite à tous et à toutes de vivre cette joie, ce bonheur d’être parents.

« M… »

Un parcours PMA peut aussi être rapide pour certains… – « les parents de Victoria »

Nous avons commencé ce parcours en mars 2022 et le 13 mai 2023, notre bébé est arrivé dans nos bras. Oui, je veux dire qu’un parcours PMA peut aussi être rapide pour certains…  et j’aurais aimé le savoir avant ! 15 mois pour nous. Évidemment, nous avons essayé d’avoir un enfant naturellement, pendant 4 ans. Et bien sûr, nous avons eu le droit d’entendre : « … faut pas y penser… c’est dans la tête… » Nous nous sommes donc convaincus de la chose. Au bout de 4 ans nous avons pris un rdv chez la gyneco, « juste pour voir, au cas où… » Mais après le 1er rdv avec la gynécologue, je me suis dit « ah on aurait peut être dû y aller avant ». Aujourd’hui c’est sans regret car nous n’étions peut-être pas prêts avant. Lorsque nous avons su que finalement quelque chose n’allait pas du côté de Monsieur, (anticorps) et que chez moi RAS, on s’est dit « finalement c’est pas dans notre tête». Évidemment ce fut la douche froide ! La gynécologue nous a dit «pour vous c’est directement FIV ICSI mais vous n’avez rien d’anormal dans vos examens madame donc c’est rassurant». On a donc commencé la FIV en mai mais nous avons été stoppé dans notre élan, arrêt des examens car confusion dans les plannings dans le centre de PMA. Examen fait… C’est reparti pour un tour, on recommence la stimulation fin juin. Ponction, recueil, résultat : 3 embryons à J-5 Un transfert à J-7… Échec… C’est dur. En août le laboratoire était fermé, et c’est très bien car j’ai du mal à me remettre de ma ponction. J’ai compris par la suite que j’avais fais une hyperstimulation et que cela devait être la raison de cet échec. On se remobilise et on programme un nouveau transfert après les vacances ! Transfert du deuxième embryon prévu le 1er septembre, et là, … le  10 septembre, nous avions du mal à y croire, prise de sang positive ! J’ai eu une grossesse en or. Évidemment j’étais fatiguée mais j’ai pu travailler jusqu’à mon 8eme mois de grossesse ! Je travaille debout (coiffeuse) et je suis travailleuse indépendante. Évidemment on parle beaucoup des parcours longs en PMA mais il y a également des parcours courts. Nous avons été très bien accompagnés par une psychologue également cela nous a beaucoup aidé ! C’est sans regret d’avoir choisi ce centre de PMA de l’Atlantique ! Notre fille a 4 mois et demi et elle fait notre plus grand bonheur. Nous attendons un peu avant le transfert du 3ème embryon mais pas trop je pense. Merci à tout les gens que nous avons croisé sur notre chemin depuis le 1er jour jusqu’au dernier de ce parcours. Merci pour tout !
« Les parents de Victoria »

Ne lâchez rien et croyez en vous – « M »

Nous avons eu recours à la PMA en 2019 nous sommes passés par beaucoup d’épreuves, de doutes, d’échecs et qui ont fini par un joli petit garçon né le 1 décembre 2022. Nous avons eu recours aux fiv, aux tec qui ont échoué jusqu’à la dernière tentative en mars 2022. Il nous restait un embryon congelé. Avant ce dernier transfert nous avons fait une pause de 9 mois car on m’a découvert de l’hypertension. J’ai voulu que ce problème soit traité avant ce dernier transfert. Et puis mars arrive, le transfert aussi et la grande surprise le tec à fonctionné. Nous sommes heureux et stressés car nous avions peur d’un nouvel échec au cours des premiers mois. Mais petit chouchou s’est accroché. Tout s’est très bien passé, on a été suivi tout les mois par Dr R. Et notre petit Lyënzzo est arrivé ce 1er décembre avec 1 mois d’avance. Il nous comble de bonheur au quotidien pour nous et nos deux filles. Une épreuve qui n’aura pas toujours été facile mais à laquelle nous avons cru et nous nous sommes battus. A tous ceux qui sont en parcours, oui c’est parfois difficile et dur mais ne lâchez rien et croyez en vous. Bébé arrivera.
« M… »

Ce parcours a soudé notre couple à jamais par notre histoire – « M »

En août 2019 nous devenons les heureux parents de notre petite Meyline, sans avoir rencontré de difficultés avant ni pendant la grossesse. Rapidement nous avons le souhait d’agrandir notre famille, et décidons d’arrêter notre contraception en juin 2020. Malheureusement une grossesse débutée en octobre 2020 va se solder par un échec, suite à une fausse couche précoce. Les mois suivants ne sont que des échecs à l’arrivée de mes règles. Nous décidons de consulter mon gynécologue afin d’écarter une raison médicale. Il me propose 2 possibilités : soit laisser la nature faire les choses et voir si je peux à nouveau tomber enceinte ou pas ! Ou bien m’orienter vers un de ses confrères spécialisé en PMA pour avoir un second avis. Je me rends seule à cette 1ère consultation spécialisée en Avril 2021. Consultation très difficile car je ne m’étais absolument pas préparée au fait que le médecin allait me proposer une FIV !! En effet, ayant déjà 41 ans lors de la consultation, il m’explique que nous n’avons plus de temps à perdre si nous voulons mettre toutes les chances de notre côté. Je rentre à la maison effondrée et au pied d’un mur… nous allons longuement discuter avec mon mari et prenons la décision commune de nous lancer dans ce parcours de PMA. Tout a commencé par une journée d’hospitalisation de jour afin d’effectuer les examens nécessaires permettant d’écarter une anomalie tant de mon côté que celui de mon mari. Un premier soulagement mais alors « Pourquoi je ne tombe pas enceinte ?? » En septembre, 2021, vient le moment de la ponction d’ovocytes pour moi et recueil de sperme pour mon mari, après avoir débuté un traitement per Os ainsi que des injections. Les résultats sont très satisfaisants. Nous obtenons 6 embryons de très bonne qualité au 6ème jour après la ponction. Seulement voilà, à nouveau une déception, le 1er transfert ne peut avoir lieu car je me trouve en hyperstimulation, et nous ne pouvons pas prendre de risque. Nos embryons vont donc être congelés et surveillés précieusement à la polyclinique. Les mois suivants vont être éprouvants tant physiquement que moralement pour tous les 2. Les traitements s’enchaînent ainsi que les échographies de contrôle le matin avant d’aller au travail.Puis les résultats négatifs après nos 3 premiers transferts d’embryons congelés (TEC). Vient la période de Noël et ce nouvel échec qui me fait comprendre que mon organisme est trop fatigué pour poursuivre. Nous prenons la décision de faire une petite pause d’un mois avant de repartir sur un nouvel essai qui sera un nouvel échec.Sur nos 6 embryons du départ, 1 n’a pas résisté à la décongélation. Il ne nous reste plus qu’un seul embryon congelé. Notre petit J6 car apparu au 6ème jour après la ponction d’ovocytes. Afin de mettre toutes les chances de notre côté, je décide d’aller voir un magnétiseur et un ostéopathe, en espérant que toutes ces médecines douces m’aideront à préparer mon organisme pour cet ultime transfert. En effet, à ce stade, je ne me voyais pas redémarrer à zéro le traitement si un nouvel échec se présentait à nous. Mon mari, m’encourageait de toutes ses forces mais la fatigue prenait le dessus. Nous tentons donc cet ultime TEC, le 21 mars 2022,  je demande au médecin de m’arrêter le temps d’attendre les résultats 10jours après…longue période de doute et d’angoisse comme lors de chaque transfert Enfin les résultats, nous n’y croyons plus lorsque le résultat « POSITIF » s’affiche sur l’écran de notre ordinateur. Puis un mélange d’émotions va suivre durant les mois suivants, joie, stress, peur d’une nouvelle fausse couche. Mais finalement, notre plus belle réussite est né le 21 Décembre 2022 à 2H46. Notre petit Lilian fait désormais le bonheur de toute la famille. Ce parcours, a été difficile, éprouvant tant moralement que physiquement. Je ne me suis jamais sentie aussi épuisée que durant ce traitement. Mais grâce à notre soutien mutuel, nous avons continué d’y croire tous les 2 et ce parcours a soudé notre couple à jamais par notre histoire. Nous avons été épaulé par une équipe qui sait être à l’écoute lorsqu’il faut, et nous ne les remercierons jamais assez. Nous avons eu la chance que notre parcours de PMA  n’a duré qu’une année. Mais l’essentiel est de toujours y croire, et s’accrocher, et surtout suivre son instinct lorsqu’on ressent le besoin de faire une pause. Aujourd’hui nous sommes les heureux parents de deux beaux  enfants Meyline et Lilian. Nous souhaitons apporter tout notre courage et notre soutien à tous ceux et celles qui suivent ce parcours. Vous n’êtes pas seuls. « M… »

L’important c’est l’aboutissement même si le chemin est long – « P et A »

J’ai toujours su qu’il ne serait pas facile d’avoir des enfants ayant des cycles absents ou très irréguliers. J’ai appris il y a quelques années que j’avais le SOPK.
J’ai arrêté ma contraception au printemps 2020, nous étions en année sabbatique à l’étranger, seuls dans la nature, le bonheur total, toutes les conditions réunies pour que cela puisse fonctionner naturellement, mais non. Dès notre retour en France, j’ai consulté la gynécologue vue avant mon départ, c’était l’automne 2020. Étant donné nos âges 34 et 33 ans, et notre désir d’enfant exprimé depuis longtemps, Mme DF n’a pas tardé à mettre en place un suivi régulier et plusieurs protocoles : stimulations par clomid sur plusieurs cycles, injections d’ovitrelle, stimulations ovariennes par injections quotidiennes sur plusieurs cycles également, et examens complémentaires pour nous deux.  Verdict : stérilité inexpliquée (puisque l’ovulation était bien déclenchée par les médicaments et RAS du côté de mon conjoint). En mai 2022, nous procédons donc à une 1ère insémination qui ne fonctionne pas. On ne lâche rien et on enchaîne avec une 2ème, le 16 juin 2022 : et celle-ci fonctionne !
Notre fille est née en mars 2023, la grossesse s’est parfaitement bien déroulée et elle se porte à merveille. Nous avons eu de la chance car notre parcours n’a pas été si long que ça par rapport à d’autres couples (1,5 an entre la 1ère consultation et le début de la grossesse) mais cela a été intense avec de nombreuses déceptions, dans un contexte Covid contraignant.
Nous avons été extrêmement bien accompagnés tant par la gynécologue et son assistante que le centre PMA qui a toujours un petit mot d’encouragement très gentil. Mon employeur a aussi été compréhensif car tous ces protocoles demandent un suivi important : 2 prises de sang et échographies par semaine, qu’il faut pouvoir caler dans son agenda.
Pour tous les couples de futurs parents qui traversent cette épreuve : croyez en vous, soyez solidaires, faites les démarches à deux et parlez-en autour de vous si besoin. Je trouve qu’on n’entend pas assez parler des difficultés rencontrées pour avoir un enfant et que ce sujet ne doit pas être tabou. L’important c’est l’aboutissement même si le chemin est long.
« P… et A… »

Un grand merci pour nous avoir offert ce bonheur – « A »

Comme dans mon dernier témoignage, je disais que suite à notre fiv nous avons eu notre merveilleuse fille qui a 2 ans passé aujourd’hui. Il y avait un deuxième embryon de congelé. Malheureusement l essai bébé 2 naturellement ne fonctionne pas. Nous avons donc demandé à décongeler le deuxième embryon, et cela a fonctionné. notre fille est aujourd’hui grande sœur d’un magnifique petit garçon. Quoi de mieux ? Nous avons effectué une fiv et avons eu 2 bébés. Cela nous fait 100 % de réussite. Le docteur M était également ravi de cette réussite.
L’accompagnement du centre pma est au top ainsi que la maternité. Un grand merci pour nous avoir offert ce bonheur.
« A… »

Au début on nous annonce qu’un don d’ovocytes serait peut-être la seule solution… – « M et L »

Après 2 années d’essai bébé, nous prenons rendez-vous début 2022 avec le gynécologue qui me suivait à la PCA afin de faire un bilan de fertilité. Après plusieurs examens et prises de sang, les résultats nous apprennent que je souffre d’une IOP sévère pour moi et rien à signaler du côté de mon mari. Au début on nous annonce qu’un don d’ovocytes serait peut-être la seule solution… on accuse difficilement le coup!
Finalement un gynécologue spécialisé en infertilité nous prend en charge à la PCA pour commencer directement un parcours FIV.
Très rapidement, nous sommes pris en charge et suivons les protocoles.
En juin 2022, une ponction ovocytaire et un recueil de sperme sont réalisés et la première FIV démarre.
Nous obtenons plusieurs embryons et pouvons implanter un embryon « frais » fin juin.
Une dizaine de jours plus tard, le test sanguin s’avère positif : nous attendons notre bébé miracle!
Notre fille est née en Mars 2023 à la PCA et a aujourd’hui presque 6 mois.
Grâce au centre de PMA, aux gynécologues qui nous ont suivi et à toute l’équipe de la PCA nous avons pu réaliser notre rêve de devenir parents et fonder notre famille.
Nous remercions sincèrement toutes les personnes qui nous ont accompagnées à la PCA.
« M… et L… »

Voilà l’histoire de notre famille, que nous avons pu fonder grâce à la PMA – « C »

Voilà l’histoire de notre famille, que nous avons pu fonder grâce à la PMA.
Fin 2018, j’arrête ma pilule et nous commençons les essais bébés lors de notre voyage de noces, naïvement on espère ramener une surprise dans les bagages…
6 mois plus tard, mes cycles sont anarchiques, je n’ai pas de règles et les tests de grossesse restent négatifs. J’obtiens un rdv rapidement avec Dr S qui vient de s’installer à la polyclinique. Elle est tout de suite à notre écoute et ne nous envoie pas balader attendre les un an d’essais comme certains gynéco car elle voit bien qu’il y a un problème. Après les tests, il s’avère que j’ai un SOPK, et en plus on découvre que mon conjoint a une OATS (oligo astheno teratospermie).
Elle nous propose de faire 3 IAC, qui sont soit négatives, soit annulées en cours de route car je sur réagis aux injections.
Fin 2019 nous faisons une première FIV, je fais une grosse hyperstimulation mais nous obtenons 4 embryons à J5 tous de top qualité.
Juste avant Noël, on me transfère le premier, négatif, je suis abattue. Janvier 2020, le deuxième donne une grossesse biochimique, la déception est immense et nous désespérons de devenir parents un jour. Nous ne croyons même plus en les deux derniers embryons après l’échec des deux premiers et nous envisageons de les transférer ensemble pour vite passer à la FIV 2.
Le COVID arrive avec la fermeture des centres, nous le vivons comme une injustice car les personnes fertiles personne ne leur interdit de continuer à procréer eux !
En juin 2020, enfin nous pouvons faire un nouveau transfert, nous décidons finalement de n’en mettre qu’un et cette fois ça y est, je suis enceinte ! Suite à une rupture prématurée de la poche des eaux j’accouche à 7 mois mais notre petit garçon est en parfaite santé.
A l’automne 2022 nous nous décidons à retourner voir Dr S pour transférer le dernier embryon, pour nous c’est sur cela ne peut pas marcher du premier coup après tous les échecs du premier parcours donc nous voulons vite le transférer pour passer à la FIV suivante. Le transfert est rapidement programmé et contre toute attente, le résultat est également positif, nous n’y croyons absolument pas que cela se passe aussi vite pour ce deuxième enfant, mais surtout quelle joie de ne pas avoir à revivre une autre FIV car je garde un très mauvais souvenir de mon hyperstimulation. A l’issue d’une grossesse marquée par plusieurs complications (décidément nous ne sommes jamais épargnés…) Nous accueillons notre deuxième petit garçon en juin 2023.
Nous sommes comblés avec nos deux petits anges, notre famille est au complet, merci à toute l’équipe du centre de PMA, sans vous rien n’aurait été possible.
Aux couples encore dans l’attente, ne baissez pas les bras en cas d’échecs répétés, un jour la chance finit par nous sourire et vous aurez droit à ce bonheur ! Nous voulions aussi vous dire de ne pas confondre vitesse et précipitation, si nous avions transféré les deux embryons qui nous restaient ensemble nous aurions eu une grossesse gémellaire et cela aurait été la plus grosse erreur de notre vie car malgré des grossesses singletons j’ai plus d’une fois failli perdre mes grossesses à cause de nombreuses complications et ni l’un ni l’autre ne seraient sans doute arrivés à un terme viable s’ils avaient été ensemble.
« C… »

Et je compte bien recommencer bientôt… – « S »

Il y a quelques années j’ai appris que je ne pourrais pas avoir d’enfants naturellement. Au début, j’avais tiré un trait dessus. Et puis j’ai rencontré mon mari. Et l’envie d’avoir un enfant est revenue de plus belle. Donc j’ai décidé de me tourner vers une fiv sans trop y croire par peur que cela ne marche pas. Mais mon mari m’a dit qu’il fallait tenter. Donc là on a commencé les premiers rendez vous puis tous les tests pour moi comme pour Monsieur. Ceci a commencé en septembre 2021. Puis, nous avons eu les résultats qui ont bien confirmé mon problème de trompes. Du coté de Mr il y n’ avait rien du tout. Donc il y a eu le prélèvement d’ovocytes et de spermatozoïdes. Ensuite est venu le moment des piqûres, puis, le moment de l’implantation qui, au début me stressait mais bon c’était pour une bonne cause .  15 jours après l’implantation j’ai ressenti que j’étais enceinte j’ai donc fait un test de grossesse qui s’est avéré positif. Puis la prise de sang 2 jours après s’est avérée aussi positive et là j’ai été la plus heureuse du monde. Au jour d’aujourd’hui mon bébé va bientôt avoir 7 mois et c’est un pur bonheur tout les jours. Et je compte bien recommencer bientôt…

« S… »

J’ai eu des moments où je ne voulais plus entendre parler d’essais bébé – « J,K et M »

Mon conjoint et moi-même voulions un enfant. Nous laissons les mois couler tranquillement sans se prendre la tête. 1 an, 2 ans… 4 ans plus tard je me rends bien compte que quelque chose clochait car toujours aucun signe de grossesse. J’ai mis beaucoup de temps à réagir parce que j’avais peur de prendre rendez-vous avec un gynécologue, qu’on m’annonce quelque chose de grave ou qu’on me dise que nous n’aurions pas d’enfants c’est pour cela que j’ai mis beaucoup de temps à aller faire des examens.
Janvier 2020 on décide enfin de prendre contact avec un gynécologue à la polyclinique près de chez nous. Nous avons fait une batterie d’examens, prises de sang, spermogramme, hystérosalpingographie, échographie pelvienne. Ce gynécologue ne nous a rien dit à part « tout va bien » mais au fond je savais qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas.
Il décide de faire une stimulation ovarienne. Pendant 8 mois non-stop je fais ces stimulations mes ovaires réagissent super bien mais aucune grossesse en vue. Je décide d’arrêter d’être suivie par ce praticien. Après l’arrêt de la stimulation, je tombe enceinte 1 fois, 2 fois puis 4 fois mais toutes des fausses couches précoces. Je suis très triste, je suis en colère et j’ai envie d’abandonner mais mon conjoint me soutient et croit en nous et sait qu’un jour nous aurons notre enfant. J’en parle autour de moi et mon amie m’a parlé du centre de pmatlantique et nous y allons les yeux fermés. Mon intuition ne s’est pas trompée.
Docteur D a été exceptionnelle. Tout de suite elle nous a expliqué ce qui n’allait pas car je n’ai jamais eu la réponse que j’attendais suite à l’examen de hystérosalpingographie que j’avais passé dans le précédent centre. J’avais les trompes de Fallope bouchées.
J’ai été opérée quelques temps plus tard pour essayer d’enlever les lésions dues à la chlamydia qui a provoqué tout ça. 4 mois plus tard je retombe enceinte malheureusement le taux hcg n’augmente pas, je refais une énième fausse couche. 2 mois plus tard nous nous lançons sur une première fiv. Le traitement à duré 12/15 jours. C’est passé à une vitesse folle. Puis le rendez-vous tant attendu pour la ponction, résultat 18 ovocytes de prélevés. Quelques jours plus tard, le laboratoire m’appelle pour me prévenir que j’ai 11 embryons. Nous sommes heureux. Les 5 jours s’écoulent, docteur D me transfère un embryon et le jour même j’étais sûre et certaine que ce petit embryon tiendrait le coup. Encore une fois, mon intuition ne s’est pas trompée. Le docteur m’a dit de faire une prise de sang 10j après le transfert mais j’étais trop impatiente et au fond de moi je savais que j’étais enceinte, la petite barre apparaît mais un peu timide. Le lendemain matin le test de grossesse s’avère positif, je suis heureuse et émue. Je pars directement au laboratoire pour faire ma prise de sang, verdict un taux qui dépasse les 400ui puis 1000… ça y est l’aventure commence pour nous, on est aux anges, heureux mais à la fois tellement angoissés par cette peur de le perdre.
9 mois plus tard je mets au monde un petit garçon, 3kg160 d’amour. Quand je l’ai vu, posé sur moi j’ai pleuré toutes les larmes de mon corps. Il est magnifique. Je ne remercierai jamais assez ma gynécologue qui nous a suivi et qui nous a offert ce beau cadeau, je remercie toutes les équipes en passant par ma gynécologue, au laboratoire jusqu’au bloc opératoire. Tout le monde a été bienveillant avec nous, à l’écoute, accueillant. Un grand merci pour votre travail, je pense que sans vous on n’y serait pas arrivés.
Aujourd’hui mon fils à bientôt 11 mois,. Bientôt nous reviendrons vers vous pour un deuxième enfant. Il nous restera 9 embryons, nous réfléchissons pour en faire bons usage, pourquoi pas les donner pour des couples ou les donner à la science, c’est en réflexion.
Je voudrai laisser un message pour les couples :
N’abandonnez pas, soyez fort et soudés. C’est un parcours qui peut être court comme le nôtre comme très très long pour d’autres. Je sais que c’est difficile, je suis passée par là, j’ai été dans des états catastrophiques avec de très très grosse déprimes à beaucoup pleurer à chaque fois que mes menstruations arrivaient, à faire des tests de grossesse à tout va, j’ai eu des moments où je ne voulais plus entendre parler d’essais bébé. J’étais jalouse de voir des femmes enceintes, j’étais même en colère contre l’univers d’avoir vécue des fausses couches qui ont été pour moi un traumatisme. J’en suis la preuve vivante que rien n’est voué à l’échec, il faut juste se battre et surtout surtout être optimiste pendant votre parcours fiv et d’avoir des pensées positives et se dire que cela va fonctionner, tout est dans l’esprit. Croyez en vous.
Encore merci pour tout, à très bientôt.
« J…K… et M… »

– J’encaisse, on va avoir besoin d’aide… – « B »

Avec mon conjoint cela faisait 3 ans et demi qu’ont essayait d’avoir un enfant mais sans succès.  Je décide d’aller voir mon médecin qui me fait faire une prise de sang. Et là le verdict : « votre AMH est faible, elle correspond à une femme de 40 ans (j’en avais 32 ) »
Je prends rendez-vous à la polyclinique avec le docteur B.. Il me prescrit des examens ainsi qu’à mon conjoint. L’hystérosalpingographie me fait mal. Je décide de faire une cœlioscopie afin de savoir ce qu’il se passe. Le verdict tombe : les 2 trompes bouchées, endométriose et un polype qu’il a enlevé mais il n’a pas réussi à déboucher les trompes… coup de massue à nouveau…
On nous dit qu’on va devoir passer par la FIV (on s’en doutait mais de l’entendre fait mal). Je commence donc les injections (que mon conjoint me fait car nous sommes deux dans ce projet, c’est une façon pour lui de participer). Je fais donc ma ponction d ovocytes le 6 juillet 2022, résultat : 8 ovocytes qu’on va laisser en culture et qui vont finir par donner qu’un seul embryon (je suis n’y crois pas). On fait le transfert d’embryon le 11 juillet et on va attendre 9 jours avant la prise de sang …
9 jours après je vais au laboratoire faire ma prise de sang et là c’est positif,  je suis enceinte…
De là je fais donc mes échos, tout se passe bien jusqu’au 4 septembre dans la nuit, où je fais une fausse couche hémorragique à 3 mois de grossesse qui m’a traumatisée…
Je n’ai plus voulu entendre parler de grossesse. J’avais peur, j étais déçue. Je n’avais pas d’autre embryon. Ça voulait dire que je devais repasser par les injections , ponction etc . Mon conjoint me dit qu’on doit retenter pour ne pas regretter… Je recommence donc injections, ponction… Le 12 novembre, ponction d ovocytes : que 5 ovocytes de prélevés. Je pleure toutes les larmes de mon corps. Encore une fois trop déçue d’avoir subi tout ça pour n’avoir que ça ! Appel du labo 5 jours après : qu’un embryon, encore une fois. Là, je dis à mon conjoint que cette fois-ci, si ça ne marche pas j’abandonne, c’est trop dur moralement et physiquement… On me transfère donc mon unique embryon le 17 novembre, on attend 9 jours jusqu’à la prise de sang qui est positive. Je suis perdue, entre le stress, la peur et la joie… Le 15 décembre, je vais voir le docteur B qui me fait une écho de datation et là, surprise, non pas un cœur mais deux cœurs qui battent !! Je demande au docteur B si c’est une blague sachant qu’on m’avait transféré qu’un embryon, et non non, il y en a bien deux ! De là, les rendez-vous s’enchaînent car ce sont des vrais jumeaux, qui partagent le même placenta donc grossesse à risque (comme si je n étais pas assez stressée). Écho toutes les deux semaines afin de surveiller qu’ils n’aient pas le syndrome transfuseur transfusé… A 18 SA, j apprends qu’ils ont ce syndrome. Malheureusement un des bébés n’a plus beaucoup de liquide. Il faut agir vite. Ma gynéco, le docteur A, qui a été réactive, je la remercierais jamais assez, m’a envoyé deux jours après à l hôpital Necker pour que je sois entre de bonnes mains. Je fais des examens là-bas et on me dit que je suis opérée dès le lendemain car j’ai 60% de « chance » de perdre au moins 1 ou les deux bébés. Il faut quand même essayer l’opération. Je me fais donc opérer le lendemain , ça s’est bien passé, les bébés vont bien. Suite à l’opération,  j’ai des échographies toutes les semaines, tout va bien mais chaque semaine c’est l’angoisse …
A 33 SA +3, je perds les eaux, le travail commence et durera 48h jusqu’à ce que je parte en césarienne d’urgence car j’ai une septicémie et le placenta est infecté, les bébés sont en souffrance … Mais le 20 juin à 10h14 et 10h15 mes deux garçons Eden et Milann sont nés et ils vont bien à présent…
Même si la PMA est dure physiquement et moralement, il faut se battre, en parler et être soudés avec son conjoint, c’est très important. Mais ne perdez pas espoir …
Je remercie le centre PMA qui m’a permise d’avoir deux beaux bébés, les gynécos et les secrétaires sont top. Merci à vous.
« B… »

Nous souhaitons à tous les couples que vous rencontrez d’avoir assez de force pour se battre, de s’accrocher, d’avoir le courage de continuer -« G »

Bonjour,
Je me permets de vous contacter par ce biais, pour à nouveau remercier toute votre équipe pour votre travail et votre professionnalisme.
Nous avions déjà eu l’occasion de vous remercier, mais il est important pour nous aujourd’hui de vous le redire.
Votre écoute, votre patience et votre implication sont indispensables et remarquables.
Votre équipe a offert à notre famille 4 merveilles, 3 garçons et 1 fille âgés de 10 ans a 22 mois. Notre parcours aura compté au global sur 10 ans, 3 ponctions et 8 transferts d’embryons à j5 frais ou congelés.
Nous sommes conscients de la chance que nous avons eue, que notre parcours a été plus « rapide » que pour d’autres couples. Il n’a pas été toujours facile, nous nous sommes accrochés.
Aujourd’hui, nous avons tourné la page de l’aventure Pma, car notre famille est au complet.
Il y a quelques semaines, mon conjoint est décédé d’un cancer rare, incurable et foudroyant. Il a connu nos 4 merveilles, les a vu grandir un peu, et en était très fier.
Grâce à votre travail, nous sommes une famille, liés les uns avec les autres.
Ces 4 cadeaux que vous nous avez permis d’avoir sont inestimables, encore plus aujourd’hui car ils perpétuent la mémoire et l’existence de leur papa.
Un jour, ils apprendront sûrement l’aide que vous nous avez donnée pour qu’ils soient là.
Nous souhaitons à tous les couples que vous rencontrez d’avoir assez de force pour se battre, de s’accrocher, d’avoir le courage de continuer car au bout du chemin la victoire est la plus belle qui soit.
Très bonne continuation à vous tous, et de nouveau merci…
« G… »

On a le droit de craquer – « C »

Déjà 5 ans que je n’avais plus de contraception,1 an d’essai naturel sans qu’il ne se passe rien, Dr D. nous à envoyer vers Dr M. pour faire des tests de fertilité et le verdict est que j’ai le SOPK et mon conjoint tout va bien de son côté.
Le parcours a duré 3 ans avec une pause de 6 mois.
Plusieurs cycles sous stimulations simples sans succès, nous avons continué avec le inséminations.
La 1ere a été un échec puis la 2 ème nous avons eu notre positif !
Notre Marin est né le 23/03/2023 et tout s’est très bien passé et au jour d’aujourd’hui il se porte à merveille.
Le parcours à été dur, les négatifs après chaque cycle, les effets secondaires des traitements etc.. mais un grand merci à tout le personnel, que ça soit les médecins, les secrétaires, le laboratoire toujours là pour nous soutenir, nous rassurer, permet de rebondir et au jour d’aujourd’hui ça nous a permis d’avoir notre enfant.
Tout ça pour dire on a le droit de craquer, de faire des pauses, continuer sa vie, partir en vacances pour nous ça nous a permis de rester positifs, que notre couple reste soudé et d’en être arrivé là aujourd’hui !
Ce message pour tous les couples qui passent par là, peut importe le parcours battez vous, ne perdez pas espoir car le soleil brille toujours un jour et surtout hésitez pas d’en parler autour de vous avec des professionnels, entourage si besoin, ça permet d’évacuer et dire ce qu’on ressent et ça fait beaucoup de bien ☺️
Je souhaite à tout le monde que le bonheur arrive aussi et que votre parcours finisse par une victoire !
Merci au centre pour tout ce que vous faites

« C… »

La PMA est une course de fond mais qui en vaut le coup… – « K et P »

Si notre parcours peut donner de l’espoir…
Après 18 mois d’essai pour fonder notre famille, nous nous décidons à en parler à notre médecin traitant, qui, après quelques examens, nous dirige vers le Dr R de la polyclinique de l’Atlantique.
1er contact téléphonique en juin pour un 1er RDV fixé le 17/10/2017. Anxieux, nous rencontrons donc notre gynécologue spécialisé. Nous repartons sonnés par la confirmation que nous aurions besoin d’aide, mais en même temps plein d’espoir. Pendant les 2 mois qui suivent nous effectuons tous les examens complémentaires.
On débute par des inséminations artificielles, 3, toutes négatives. « On va s’énerver et passer à la FIV » pour reprendre les propos de notre gynécologue. Juin 2018, notre 1ère FIV ICSI fonctionne. 1 seul embryon frais mais qui tient : Ylan est né en pleine forme le 22/03/2019.
Essai pour un 2ème bébé qui débute en mars 2020… On tente naturellement pendant 6 mois, sait-on jamais ?!
Bon, on retourne voir notre super gynécologue qui maîtrise la formule miracle. On passe directement à la FIV ICSI en mars 2021 : 1er échec et aucun embryon viable. Attente obligatoire de 3 mois où, par miracle, je tombe naturellement enceinte. Fiers de dire à notre gynécologue « on l’a fait tout seul ! ». Malheureusement, je fais une fausse couche la veille de l’écho du T1.
On laisse passer l’été pour se remettre de cette perte… 2ème tentative de FIV ICSI en octobre 2021 : 5 embryons ! Transfert d’un bel embryon frais mais… fausse couche également.
On laisse cette fois-ci passer les fêtes de fin d’année.
Fin janvier 2022, nouvelle tentative de transfert d’un embryon congelé : Positif, il s’accroche malgré des complications de grossesse. Axel naît prématurément suite à une pré-éclampsie sévère le 13/09/2022.
Mes garçons ont donc été conçus et sont nés au même endroit et ont été mis au monde avec la même gynécologue qui était présente pour mes 2 accouchements.
La PMA est une course de fond mais qui en vaut le coup… Courage à tous les couples qui traversent cette épreuve et un énorme merci à toute l’équipe médicale qui nous a aidé à fonder notre famille. Notre gynécologue bien sûr, ses secrétaires, Juliette que j’ai eu quelques fois au téléphone, aux biologistes, aux infirmièr(e)s lors des passages au bloc notamment. Et j’ajoute le service de néonatalogie où notre dernier a passé 10 jours, malgré le contexte, nous ont laissé notre place en tant que parent.
« K… & P… »

Il faut y croire toujours et ne pas baisser les bras – « M »

Nous avons déjà deux enfants , il y a 6 ans nous voulions un 3ème enfant, les mois passent et toujours rien, au bout de 2 ans et demi on nous dit qu’il serait bien de consulter pour un éventuel suivi PMA. Nous faisons la rencontre de Dr R qui nous a expliqué tout le protocole et tout ce que cela allait impliqué, (traitement, piqûres, pds…) Nous commençons donc notre parcours, nous avons été très bien suivi, on a rencontré des difficultés, des moments difficiles, des échecs, une fausse couche en plein confinement, une épreuve très difficile pour moi car impossible d’être accompagné de mon mari à ce moment là à cause de la crise sanitaire.
L’équipe a été formidable, à l’écoute et présente.
Suite à tout, cela nous avons décidé de faire une pause de 9 mois, à ce moment il ne me restait qu’un embryon congelé, nous avons décidé de reprendre en mars 2022 avec ce dernier transfert et c’est là que cela a fonctionné. Je suis tombée enceinte. Notre fils Lyënzzo est né ce 1 décembre 2022 pour notre plus grand bonheur.
Alors oui c’est un parcours difficile mais il faut y croire toujours et ne pas baisser les bras. Je m’étais toujours dit que tant que je n’aurai pas été au bout je continuerai à me battre. Aujourd’hui je suis comblée, j’ai mes deux filles que j’ai eu naturellement et mon fils. Un amour de bébé.
Un grand merci encore une à toute l’équipe PMA , les sages femmes, Dr R et tous les autres qui nous aurons aidé à concrétiser notre rêve.

« M… »

Être confrontée au vide – « L »

Quand il a fallut commencer le parcours de PMA, ça faisait un peu plus d’un an qu’on essayait. Pour ma part ça faisait déjà 6 ans que je désirais un enfant mais j’avais déjà du patienter de nombreuses années pour que mon conjoint en ait envie aussi.
Ayant travaillé en laboratoire, de manière rapprochée avec le centre de PMA de la Polyclinique, j’étais plutôt sereine. Je savais dans quoi je mettais les pieds, j’avais échangé de nombreuses fois avec des couples en PMA. Et puis on se dit toujours naïvement que pour nous, ça sera rapide. Mais finalement ça a été beaucoup plus dur que prévu. J’avais beau connaître les lieux, une partie du personnel du Centre, une grosse partie des protocoles etc… j’ai dû faire face à tout ce qui ne s’explique pas mais qui se vit.
Lors des examens, la source de notre infertilité a très vite été détecté et nous avons donc directement commencé par une fiv icsi. Mon conjoint se reposait beaucoup sur moi par confiance et moi j’étais très confiante. Le soucis était trouvé, il y avait une solution, ça va forcément fonctionner comme on veut. 1ere déception : le jour de la ponction, aucun de mes ovocytes n’est mature. Arrive la première culpabilité : est ce que j’ai fait correctement mes injections ? Est ce de ma faute ? 2nd essai avec un nouveau traitement ça fonctionne mieux. On obtient 2 embryons. Magnifique ! Le premier est implanté mais le test de grossesse sera négatif plus tard. Je me souviens de ce résultat. Ayant changé d’activité, un client entre juste au moment où je recevais mes résultats. Alors vous retenez les larmes et vous souriez. Mon conjoint lui, en apprenant le résultat, se plonge dans le travail pour oublier. On reste confiant car après tout il reste un embryon. Le premier n’était peut-être pas si bon que ça, le second sera mieux, dans un utérus moins fatigué par les traitements. Donc le tec arrive…. Et un test de grossesse de nouveau négatif aussi. Celui ci était encore plus violent car je me suis vraiment dit « mais là ça vient de moi, je fais quoi pour perdre mes bébés ? ». Personnellement, c’est là où j’ai le plus souffert. Il n’y avait aucune grossesse et pourtant dans ma tête, ces embryons étaient déjà le début de quelque chose. Je n’aurai pas la prétention de dire que je sais ce que ressent une femme ayant fait une fausse couche, mais je pense m’en être rapprochée car pour moi, je les avais perdu. Et autour de vous, chacun passe à autre chose car finalement il n’y a pas eu le moindre début de grossesse. Mais pour vous, c’est comme si. Le monde continu de tourner quand pour vous, vous avez perdu vos embryons. Ces embryons pour qui, pendant 10 jours, vous avez pensé et pris soin. Sur le coup j’ai pensé réussir à digérer ça mais par la suite j’ai compris que ça m’avait énormément marqué, tel un petit traumatisme. Le choc est tel que je dis à mon conjoint que je souhaite faire une pause dans les essais avant de reprendre. Lui veut enchaîner mais respecte mon souhait. On attendra donc 5-6mois. 10 jours après le test pourtant, je n’ai toujours pas mes règles, on me demande de refaire un test. J’attends encore 2 jours avant d’y aller car je ne veux plus voir de test négatif. J’ai envie de pleurer tout le long du trajet vers le labo tellement je redoute ce nouveau test. J’avais décidé de faire une pause pour me remettre de cette blessure et me voilà 2 semaines plus tard à rouvrir la plaie… Plaie bien ouverte car le test est négatif, mes règles se déclenchent douloureusement dans l’heure qui suit le résultat. Pas de doute, mon cerveau m’avait joué un tour. On a attendu quelques mois avant de se relancer. La ponction se passe bien mais une urgence perso de dernière minute fait qu’on travaille sur des paillettes congelées… Zéro embryons. On était déçu mais si je suis honnête, je préférais ça que d’avoir un transfert qui ne fonctionne pas. On nous explique que dans notre cas, c’est assez compliqué, les congélations ne nous réussissent pas. On commence à nous parler de don mais on ne souhaite pas y recourir. Personnellement je commence à me préparer au fait que peut-être on n’aura jamais d’enfants. Mon conjoint lui au contraire y croit de plus en plus. Visiblement on se compense bien. 3 mois après, reprise d’un nouvel essai mais peu de temps avant la ponction on stoppe tout : mon conjoint vient d’avoir le covid avec 3 jours de forte fièvre. Ça ruine nos chances donc aucun intérêt. Je pleure pour la première fois devant le gynéco qui s’excuse. Pourtant il n’a pas à s’excuser, il a raison de tout stopper, mes larmes sont justes un sentiment d’injustice et de fatigue vis à vis de ces éternels protocoles qui recommencent sans jamais aboutir à un enfant. Les traitements sont de plus en plus difficiles, non pas physiquement pour ma part, mais psychologiquement. S’infliger ça en étant sûr du résultat c’est rien. Mais quand le résultat ne vient pas et ne viendra peut-être jamais… Les douleurs et effets secondaires deviennent pesants. De plus au fur et à mesure votre corps récupère des traitements de moins en moins bien. J’hésite à refaire une pause mais mon conjoint en est convaincu : la prochaine sera la bonne.
Contrairement aux fois précédentes, je finis par m’intéresser aux méthodes d’aides alternatives. Autant tout tenter, même ce qui me paraît farfelu. Donc j’écoute des podcasts sur le sujet et je tente le yoga de la fertilité, les tisanes, les séances d’ostéopathie, les séances d’hypnose et d’auto hypnose, …
3 mois plus tard on reprend de nouveau tout. Pour moi c’est du quitte ou double car je lance une activité (professionnelle) supplémentaire. Ça veut dire qu’entre les préparatifs de mon lancement et le traitement c’est double planning chargé, double fatigue et double montagne russe émotionnelle. La ponction arrive, dans des conditions très particulière car un samedi où nous étions les seuls. Ambiance « reçu comme des princes » nous avons tous les 2 vécu cette journée de manière moins pesante que les précédentes ponctions. Mais surprise… Je n’ai seulement que 3 ovocytes matures (jusqu’ici j’étais entre 8 et 10). Dans ma tête c’est évident : c’est encore foutu pour cette fois. Je suis déjà en train de penser à la fiv 4 qui échouera aussi et au fait que je dois faire le deuil de maternité. Je me concentre donc sur le travail pour oublier ma peine. Mon conjoint lui y croit toujours. Coup de fil du labo, sur les 3, 2 se développent. Je n’arrive pas à y croire. A j5 les 2 ont tenu et bien progressé. Après discussion avec mon conjoint, on veut le transfert des 2. On ne veut plus rien congeler et honnêtement, vu les échecs précédents, il faut tout tenter. Le transfert se passe dans les nouveaux locaux du labo. Quand arrive le moment du test de grossesse, j’ai tellement peur que je ne vais au labo ni à j9 ni j10 mais j11… Après la prise de sang, je pars faire mon marathon d’achat d’avant lancement (mon ouverture est 4jours après) et soudain sur le parking d’un magasin je vois la notification du labo comme quoi mon résultat est là. J’hésite. Est ce que c’est judicieux de m’effondrer de chagrin en plein dans ma journée chargée de travail ? Vaut-il mieux pas attendre le soir? Sauf que la curiosité est trop forte malgré tout car j’ai envie d’y croire. Et mes jambes tremblent déjà, mon souffle est coupé… Je suis déjà au bord du malaise alors autant regarder. J’ouvre le pdf du résultat… Le taux est positif et bien positif. Mon cerveau bug. Pendant 5 min je reste sans la moindre émotion face à cette page, je vérifie le nom prénom du résultat, l’adresse, la date du dossier (même l’heure de validation du dossier, ne me demandez pas pourquoi) etc… J’avais validé ce type de résultats des milliers de fois pour d’autres patientes à l’époque où je travaillais en labo. J’avais cette sensation d’ouvrir le résultat de quelqu’un d’autre. Après quelques minutes je commence à réaliser que c’est bien moi et là je pleure de joie sur le parking (les gens autour ont du se demander ce qu’il se passait). J’envoie un message à mon conjoint, il me répond qu’il savait. Je poursuis ma journée en faisant presque abstraction. 48h plus tard le résultat à triplé. Cette prise de sang m’a fait tout aussi peur que les précédentes car je ne réalise toujours pas qu’il y a réellement grossesse donc j’avais la sensation que là ça serait négatif, qu’il y avait eu erreur. J’étais un peu plus confiante pour celle à j+10 mais pas totalement sereine non plus. Pourtant le taux a continué de bien progresser. Il nous a fallu beaucoup de temps pour réaliser, surtout à moi. Je pense que c’est notre inconscient qui nous protège en attendant que ça devienne concret. J’ai eu pourtant les nausées et vomissements, les seins qui restent gonflés malgré l’arrêt du traitement, l’extrême fatigue… Mais dans ma tête, je mentais en me disant que j’étais enceinte. Lors de mon ouverture d’activité, j’ai eu une cliente qui m’a posé des questions sur ce que je vendais car elle faisait attention vu qu’elle est en début de grossesse… J’ai ressenti ce même désarroi que lorsque des femmes m’annonçait leur grossesse et que ça me renvoyait à mes propres difficultés. Pourtant moi aussi j’étais enceinte, et même peut être doublement… Je ne me suis accordée le droit d’y croire que vers le 5e mois. Le début de grossesse n’a donc pas été idyllique entre les vomissements et mon cerveau qui refusait d’y croire.

Dans notre cas, les 2 embryons ont tenu. Nous voilà embarqué dans l’aventure de la gémellité. L’avantage c’est qu’on a droit à une échographie par mois donc ça m’a laisser plusieurs occasions pour réaliser. Quand j’ai fini par lâcher prise et y croire, ça a changé la grossesse. J’ai pu enfin l’apprécier. J’ai eu énormément de chance car pour une grossesse double, tout s’est passé à merveille et il a fallu attendre un déclenchement à terme (de jumeaux) pour voir ces 2 garçons si attendu.

Ils sont nés en ce début janvier. Ils sont magnifiques et en pleine santé. Après presque 2 mois, malgré la fatigue des nuits encore très courtes, nous sommes fous d’amour pour eux. Le retour à la maison s’est très bien passé. En repensant à notre parcours, je crois qu’on a presque oublié les moments difficiles de la PMA. On envisage même d’y retourner pour un 3e bébé, qui sait.

Pour conclure sur mon ressenti concernant les 3 années de PMA, je trouve qu’au delà de l’aspect médical, le plus dur est psychologique. Être confrontée au vide que représente la vue des expériences de maternité des autres quand on n’arrive pas à le vivre soi même et les pressions sociales est un réel combat interne. Je pense que chaque personne le vit différemment en fonction de ces propres blessures. L’espoir est mis à rude épreuve et c’est, je pense, la plus grande difficulté du parcours. Je ne pense pas pouvoir trouver les mots pour exprimer à quel point ça vous change profondément, les mots pour quantifier le combat de vous avec vous même concernant cette infertilité et ce désir d’enfants qui ne sera peut-être jamais assouvie, les mots pour décrire ce qui se passe au fond de nous quand le test de grossesse est négatif alors que pendant 10 jours vous avez regardé votre ventre en vous disant que vous allez tout faire pour protéger ce petit embryon ici. Mais ça vaut tellement le coup ! Quand je regarde mes 2 garçons dormir juste à côté de moi pendant que j’écris ces lignes, je me dis que la PMA nous a offert de vivre notre plus belle aventure. Si le chemin a été dur, on en ressort que plus reconnaissant de la magie qu’est la maternité (et paternité) et plus mature sur comment on conçoit notre vie de famille.

Je souhaite donc à chacun de ceux qui sont en plein parcours PMA de connaître enfin cet aboutissement. Toutes les difficultés seront effacées par ces petits êtres qui changent nos vies à tout jamais.

« L… »

Si cela peut donner de l’espoir à d’autres couples – « L »

Bonjour,
Si cela peut donner de l’espoir à d’autres couples :  J’ai eu mon fils par FIV grâce au Dr B en 2018. Nous avons retenter une FIV fin 2021 avec Dr B qui n’a pas fonctionné. On m’a transféré un seul embryon et je n’avais plus d’ovocyte. Et finalement 2 mois plus tard je suis tombée enceinte naturellement alors que cela faisait 10 ans que nous essayions naturellement d’avoir un enfant.
« L… »

Tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir – « D et E »

Bonjour,
Nous avons le plaisir de vous annoncer la naissance de « J… » et « R… » le 19 juin 2022 pesant respectivement 2,320 kilos et 2,080 kilos.
La maman et les enfants vont très bien.
Nous tenons à remercier tout le personnel du pôle PMA, et plus particulièrement le Dr D, Mr P, le Dr M, Mme M, psychologue, Anaïs au secrétariat, pour tout leur travail et leur soutien dans notre parcours long et difficile pour concevoir.
Après toutes ces années d’efforts, de peines et d’échecs, la récompense ultime est arrivée.
Nous sommes très heureux de pouvoir enfin goûter à la parentalité et nous vous serions à jamais reconnaissant pour cela.
Continuez le travail exceptionnel que vous faites et comme on dit  » tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir »
Cordialement et avec toute notre reconnaissance
« D… et E… »

On a l’impression que la chance ne tournera jamais -« L »

On a l’impression que la chance ne tournera jamais et qu’elle ne s’arrêtera jamais sur nous. On regarde ses faire-part accrochés aux murs et on espère au plus profond de nous, qu’un jour ça sera le notre. Parce que ça fait terriblement mal de voir ses ventres ronds quand on va aux diverses examens. On a cette sensation que Mr le gynéco est devenu notre ami à force de le voir tous les 2 matins… Stress, angoisse, combat, sourire et espoir seront le résumé du parcours. Ne jamais rien lâcher malgré les imprévus et les peurs. La PMA vous apportera le plus beau des cadeaux. Accrochez-vous et battez-vous ça en vaut la peine. Aujourd’hui notre plus belle réussite c’est ELLE, elle qui illumine notre vie après 3 ans de parcours : 4 inséminations, 1 fausse couche mais la plus belle des grossesse et notre petit trésor aujourd’hui qui est là avec nous. Croyez en vous, un jour ça sera votre tour.

« L… »

Ne perdez jamais espoir même si parfois c’est difficile et que vous voulez abandonner – « L »

Bonjour,
Voici mon histoire :
Après plusieurs années d’essais, je me suis fait opérer d’urgence pour un kyste sur l’ovaire. J’apprends à mon réveil que je souffre d’endométriose et d’adénomyose.
Direction le centre PMA au centre PMAtlantique en Juin 2019. J’y rencontre le docteur M et toute une équipe formidable en écoute et accompagnement.
Début du protocole avec injections en Septembre 2019. Tout se passe bien.
Le 9 octobre 2019 jour de ponction, j’ai 17 ovocytes ponctionnés. Après fécondation il en restera 5. Premier transfert le 14 octobre. Malheureusement ce sera un échec. J’apprends en même temps la perte de mon frère. Il me faudra plusieurs mois avant de recommencer un transfert. En février, le docteur M me propose une ménopause artificielle car les douleurs sont revenues ++++. Nous décidons de faire un 2eme transfert en mars. C’est-encore un échec. Moralement c’est difficile, je n’y crois plus. J’ai besoin de faire une pause dans le parcours. Nous en profitons pour partir en vacances, se changer les idées. Le 31 août nous faisons le 3eme transfert. J’hésite même à le faire car je n’y crois plus. Pour moi ce sera encore un échec, je me suis mise des barrières. Je fais ma vie comme si rien ne s’était passé. J’occulte même le transfert jusqu’au 11 septembre 2019 où je fais ma prise de sang.
Enfin après 3 ans et demi d’attente, mon bébé miracle est là je n’y crois pas je ne réalise pas que je suis enceinte. La secrétaire de Dr M me demande de faire une 2ème et 3ème prises de sang qui vont confirmer l’évolution de ma grossesse. Échographie de datation, le cœur de notre bébé miracle bat ♥️ !!! J’ai beaucoup de mal à réaliser ce tourbillon de bonheur.
L’attente de l’écho des 3 mois est longue, nous avons tellement hâte de revoir notre bébé.
C’est parti pour une nouvelle aventure rencontre tout les mois avec notre bébé !
Notre prince qui devait arriver le 26 mai est arrivé le 19 Mai 2021, beau bébé de 3kg570.
Si ça m’est arrivé alors ça peut vous arriver. Ne perdez jamais espoir même si parfois c’est difficile et que vous voulez abandonner. Je sais, je comprends, je suis passée par là. Mais le miracle est arrivé alors pourquoi pas vous ?
Bien amicalement.
« L… »

 

Cela a renforcé notre couple – « A »

Bonjour,
Dans un premier temps, j’ai consulté le docteur M car nous n’arrivions pas à avoir d’enfant et je voulais savoir si j étais atteinte d’endométriose car j’avais des douleurs de règles très fortes. Le diagnostic a été confirmé. L’opération à été programmé rapidement. Nous avons voulu nous laisser le temps d’obtenir une grossesse naturelle suite à cette opération, mais malheureusement cela ne fonctionnait toujours pas. Nous sommes donc rentrés dans le protocole PMA à la Polyclinique de l’Atlantique toujours suivie par le docteur M. Nous avons rencontré le biologiste afin de nous expliquer le fonctionnement de la FIV.
Ensuite nous sommes restés en contact téléphonique avec la secrétaire du docteur M pendant le protocole pour savoir quand débuter les premières injections et prendre les rendez-vous pour les échographies afin de voir l’évolution des follicules. C’est mon mari qui m’a fait les injections tous les jours. Ce n’était pas douloureux et cela faisait parti de la conception de notre enfant. Nous avons vécu cela dans la joie même s’il y avait des moments d’incertitude sur le fait que cela aboutisse à une grossesse. Nous sommes toujours restés positifs car le positif attire le positif. Au moment des échographies de suivi,  il y avait seulement 8 ovocytes. Je trouvais que ce n étais pas beaucoup mais encore une fois un seul ovocyte suffi pour obtenir une grossesse donc restons positif.
Le moment de la ponction des ovocytes se fait sous anesthésie générale pendant que le conjoint fait le recueil de sperme au laboratoire PMA. J’ai vécu ce moment dans le stress car c’est le moment attendu où tout commence et les jours suivants nous avons pensé qu’à cela. Nous avons eu des nouvelles du laboratoire presque tous les jours pour suivre l évolution de la fécondation in vitro. La première fois il y avait 6 ovules de fécondés et le lendemain les 8 étaient fécondés. Le transfert s’est fait à J5. Ce moment là est aussi gravé dans ma mémoire : lorsqu’on se rend au laboratoire, que l’on fournit notre carte d identité pour être sûr de ne pas se tromper d’embryon, jusqu’au moment où l’on transfert l’embryon dans l utérus. Je n’ai pas pu m’empêcher de verser une larme de joie en se disant : enfin ça y est, nous allons avoir un enfant. C’est une expérience qui se vie à deux. Cela a renforcé notre couple, malgré les galères qu’on a traversées nous sommes restés toujours soudés. Et aujourd’hui j’écris ce témoignage avec ma fille de 8 mois à nos côtés que je garde encore à la maison. Car oui j’ai changé ma vision des choses, il faut profiter de chaque moment qui sont très précieux.
Une autre information positive c’est qu’aujourd’hui nous avons son futur petit frère ou petite sœur qui est resté au laboratoire dans l’attente d’un éventuel futur transfert.
« A… »

Alors que j’ai 38 ans ! – « N »

Bonjour,

Voici mon histoire :
Après 2 ans et demi d’essai bébé, j’apprends via une cœlioscopie que mes 2 trompes sont bouchées.
Direction le centre PMA au centre PMAtlantique. J’y rencontre le docteur B et toute une équipe formidable en écoute et accompagnement.
Début du protocole avec injections en janvier. Tout se passe bien, très peu d’effets indésirables.
En février, bonne nouvelle, j’ai 13 ovocytes. Après fécondation avec le sperme de mon conjoint, le chiffre s’écroule vite jusqu’à avoir 2 embryons et finalement il n’en reste qu’un à transférer le 25 février.
La ponction des ovocytes et le transfert de l’embryon se passent très bien.
Et après, c’est l’attente… Jusqu’au premier taux de contrôle de bêta HCG qui révèle que je suis enceinte. Les 2 et 3ème confirment. Échographie à 7 semaines, le cœur bat !!!
L’attente de l’écho des 3 mois est très longue. D’autant plus que j’ai des pertes de sang juste avant. Écho d’urgence au centre, on voit pour la première fois notre bébé !
2 jours après, écho officielle des 3 mois !! C’est parti pour une nouvelle aventure !
Notre puce qui devait arriver le 20 novembre est arrivée finalement le 24 octobre et elle se porte à merveille.
J’ai conscience d’avoir eu beaucoup de chance que ça fonctionne du premier coup et avec un seul embryon.
Si ça m’est arrivé alors ça peut arriver à d’autres… Alors que j’ai 38 ans !
Un immense merci au docteur B, à Juliette pour son soutien et pour avoir épongé mes larmes, aux secrétaires qui ont toujours été présentes pour mes questionnements.
Jamais je ne vous oublierai !!

Bien affectueusement,

« N… »

Le soutien moral est primordial – « M »

Nous essayions depuis plusieurs années d’avoir un bébé, et malgré tout l’amour, chaque mois la déception. Après divers examens, effectivement nous apprenions qu’avoir un enfant naturellement serait compliqué; La nouvelle a été dure à accepter, surtout voyant tous les jeunes couples autour de nous nous annoncer une future naissance.

Nous voilà lancés dans le parcours de PMA. en se disant  » on essaye, on y croit et on verra bien, on n’a rien à perdre! ».  Nous sommes passés par une FIV. L’équipe médicale a été au top! Toujours à notre écoute et ça compte énormément dans ce type de démarche. Le soutien moral est primordial. Ce projet représentait tellement pous nous! Être accompagnés par les amis, la famille nous a aussi bien aidé, ça ne se vit pas seul.
A chaque nouvelle étape concluante, c’est une victoire. Ça nous aidait à voir plus loin. Nous avons été chanceux car la première tentative a été positive; Quelle nouvelle! Quand on nous a annoncé que j’étais enceinte, on était sur un p’tit nuage. On osait même pas y croire tellement ça paraissait extraordinaire, irréalisable.
La période de traitement peut paraître difficile à gérer, le stress , le poids qu’on a sur nos épaules si ça ne fonctionne pas. Mais quel cadeau! Si nous devions le refaire demain, j’y retournerai les yeux fermés!
Aujourd’hui nous sommes les heureux parents d’une petite fille. Nous repensons souvent à tout ce parcours. Et lorsqu’elle sera plus grande, on lui racontera avec fierté d’où elle vient; La PMA permet de créer des histoires, sa propre histoire. Alors pourquoi pas vous? Ça n’arrive pas qu’aux autres…
« M… »

Prendre du temps pour soi – « M »

Après 1 an sans réussir à tomber enceinte naturellement, ma gynécologue m’a diagnostiqué des ovaires micropolykystiques. J’ai débuté par du Clomid (inducteur d’ovulation) qui a eu pour moi aucun résultat (mise à part une acné sévère…) Ma gynécologue a été très réactive et je lui en remercie encore. Je suis donc partie pour des examens plus approfondis au sein de la polyclinique. J’ai rencontré Docteur « R »après une hystérosalpingographie (un mot que je n’ai jamais réussi à prononcer, une radio de l’utérus quoi !). Après examen de ma radio, Docteur « R »m’a planifié une coelioscopie épreuve au bleu hystéroscopie (intervention chirurgicale pour vérifier la perméabilité des trompes). Ce qui n’a révélé aucun souci de perméabilité. J’ai donc commencé les injections d’hormones pour les inséminations artificielles. Trois inséminations sans résultats positifs. Docteur « R » a décidé (avec notre accord bien sûr) de ne pas insister et partir directement sur une FIV. Après une pause de quelques mois, j’ai commencé les injections pour la FIV. Résultat de la ponction : 16 ovocytes recueillis (belle perf !) 9 embryons obtenus, 3 à J4-5. Après 5 jours d’attente et une hyperstimulation ovarienne, un embryon m’a été implanté. L’attente des prises de sang et résultats a été très longue, mais finalement, bonne nouvelle ce petit embryon s’est accroché ! J’ai mis beaucoup de temps à réaliser que j’étais réellement enceinte. Je m’étais tellement préparé à l’idée que cela pouvait prendre des années tout en restant positive mais de manière modérée afin de me préparer à une éventuelle déception et ne pas tomber trop bas. Ma fille a vu le jour en octobre 2019. Ce que je peux dire aux personnes actuellement en parcours PMA : Tout d’abord oser en parler aux amis, à la famille et/ou même à un psy. Cela m’a libéré d’un poids d’en parler librement mais tout en faisant abstraction des remarques maladroites ou déplacées. Mon conjoint a été très attentionné envers moi puis nous parlions sans tabou et ouvertement de notre parcours, ce qui, je pense, nous a aidé. De plus, prendre du temps pour soi pour éviter trop de stress, même si ça n’est pas simple surtout si on doit jongler entre les rendez-vous médicaux et le travail. Puis de se reposer aussi car cela engendre beaucoup de fatigue, que ce soit physique et psychologique. ET surtout de continuer à garder espoir ! S’imprégner au maximum de positif même si je comprends que c’est parfois dur. Courage à vous !!

Un grand merci à toute l’équipe PMA de la polyclinique, au Docteur « R », aux personnes du laboratoire PMA qui ont toujours été très accueillants.

« M… »

Mon corps est un warrior !

Bonjour à toutes et à tous
Quelques lignes (un pavé me connaissant !) pour vous raconter l’histoire de Thya, ma petite chipie, née le 7 juin 2020 (fête des mamans, elle a parfaitement bien choisi!) suite à une FIV ICSI.
 
11 février 2019 : avec Mr futur Papa, nous nous pacsons! Devant l’hôtel de ville « et si on agrandissait la famille ? ». Il a une fille de 9 ans d’une précédente union née grâce à une FIV. Dès qu’on a commencé à parler projets, il a été franc et m’a dit que nous serions certainement obligés de passer par là nous aussi. Ses spermatozoïdes sont peu nombreux et pas très mobiles… Dès le début, je suis prévenue, cela ne m’inquiète pas du tout.
22 mars 2019 : premier rendez-vous avec Dr « D » afin de me retirer mon stérilet. On lui explique qu’on souhaite avoir un enfant, qu’on aura sûrement besoin d’aide. Il comprend et nous dirige immédiatement vers le Dr « M ». A partir de là, tout s’enchaîne rapidement.
8 avril 2019 : rencontre avec le Dr « M ». Pour gagner du temps, on lui apporte les anciens spermogrammes du papa (qui datent de 10 ans !). Les résultats n’étaient pas fameux mais avec un peu d’aide, on est certains de réaliser notre beau projet.
De là, on a vu le docteur « M » une fois par mois environ. Nous avions la sensation d’être très bien pris en charge, qu’on ne perdait pas de temps, que les choses ne trainaient pas. Entre deux rendez-vous, prises de sang pour moi, spermogrammes pour Mr. J’étais un vrai gruyère à force d’être piquée ! Mais j’étais très optimiste et le parcours était plus doux que ce que j’avais imaginé d’un parcours FIV. 
10 juillet 2019 : trois mois et demi seulement après notre premier rendez-vous à la polyclinique, mes ovocytes sont ponctionnés. J’étais confiante quant aux nombres car, deux ans auparavant j’ai fait un don d’ovocytes et une quinzaine m’avait été ponctionné. Cette fois-ci, ce sera en anesthésie générale et pas en locale comme au CHU pour mon don. Toujours confiante, je sais que je n’aurais pas mal, et malgré mon grand nombres d’ovocytes (merci mes ovaires polymicrokystiques!), je n’ai ressenti aucune douleur jusque là, pas même une gêne. Mon corps est un warrior! J’ai beaucoup de chance.
En blouse, alors que j’attends d’être emmenée au bloc, une panne d’électricité au sein du bloc survient : les opérations sont retardées. Non non NON ma ponction ne peut être retardée ! Hier soir, Mr Papa m’a piqué à une certaine heure, la ponction ne DOIT pas être faite en retard! Je compte les minutes qui s’écoulent, je m’imagine déjà devoir recommencer tout le processus. Je ne peux pas confier mon stress au papa, il est à faire son recueil de sperme, je le retrouverais qu’une fois ma ponction faite. Une autre patiente attend avec moi, elle aussi doit subir une ponction, elle est encore plus stressée que moi. Je réussis à garder mon calme, je ne montre rien, mais je pleure à l’intérieur. 1h30 de retard… enfin le brancardier m’emmène au bloc. Allongée, quelques secondes avant qu’une infirmière me pose le masque pour m’endormir, je vois le Dr « M » qui m’annonce que le transfert n’aura pas lieu 5 jours après comme prévu. Mes ovaires ont « trop travaillé », il faut qu’ils se reposent afin de ne pas mettre en péril la FIV. Je suis anéantie, cette fois ci, je laisse mes larmes sortir enfin. Je m’endors en pleurant, une infirmière me caressant la tête. A mon réveil, je suis rapidement emmenée en chambre. Je me sens HS comme après une grosse sieste, mais physiquement tout va bien, je n’ai aucune douleur. Je retrouve le papa, nous sommes tous les 2 déçus de devoir attendre (combien de temps ?) avant le transfert. Quelques heures passent avant que Dr « M » vienne m’annoncer qu’il a pu prélevé… 34 ovocytes ! Wahou !! Je suis tellement fière de moi, de mon corps ! La déception laisse place à une joie immense !  Mais je tâche de me contrôler : je partage la chambre avec une autre femme, j’entends le docteur « M » lui annoncer qu’il ne lui a prélevé que 2 ovocytes. Mais, peu importe le nombre, finalement un seul peut être suffisant.
Samedi 13 juillet, le labo me téléphone. Nous avons 11 embryons qui ont l’air en pleine forme ! Superbe nouvelle !
Juillet, puis août passent. Le 27 août, j’ai rendez-vous avec le docteur « M ». Or, je n’ai pas eu mes règles de l’été… Anormale. Et si j’étais tombée enceinte naturellement ? Je suis partagée, je n’y crois qu’à moitié mais sait-on jamais… Sa secrétaire, adorable, me prescrit un test de grossesse. Je ne dis rien à Mr Papa… En regardant les résultats sur internet, je me filme, pour lui montrer ma réaction s’ils sont positifs. « Négatif » je m’en doutais… mais je fonds en larmes malgré tout. Allez, tout n’est pas perdu, au contraire, 5 beaux embryons nous attendent (5 jours après le 13/07, sur les 11, il n’en restait « que » 5, ce qui est déjà énorme).
Après avoir revu Dr « M », avoir déclenché mes règles et refait une prise de sang, le transfert a finalement eu lieu jeudi 26 septembre 2019, 6 mois seulement après avoir retiré mon stérilet. Mon conjoint et moi-même attendons dans la salle d’attente du labo, nous rions, plaisantons, nous sommes en forme, heureux, confiants. La secrétaire nous propose un carré de chocolat, j’en mange 2 « ça fera rester notre petit embryon en moi ! ». Le transfert a lieu, l’embryon qu’on m’implante est beau, le transfert a lieu sans accroc. Croyez-moi ou non, mais je ressens tout de suite que quelque chose se passe dans mon ventre… Dans la voiture, entre le labo et le restaurant (pour fêter ça !), je parle déjà à mon « bébé ». Mon test de grossesse aura lieu le 7 octobre, et tous les jours, je parle à mon « petit glaçon » comme je l’appelle. Je suis toujours autant confiante, je sens que quelque chose n’est pas habituel dans mon ventre, ça travaille…
le 7 octobre, je réalise la prise de sang le matin, avant de me rendre au travail. Je tremble, j’ai peur. Je reçois le mail comme quoi mes résultats sont disponibles en fin de matinée mais hors de question de les regarder seule. Je prends mon mal en patience et attends 18h que Mr Papa rentre du travail. L’ordinateur est allumée, la page est ouverte. Je rentre les codes et clique, tremblante… C’est positif !!! Avec un taux élevé ! Je n’y crois pas!! Je saute dans les bras de mon conjoint « on a réussi ! ». Restaurant pour fêter la nouvelle, et je mange du saumon cru pour la dernière fois avant d’accoucher 😉
Le 9 octobre, je refais une prise de sang, pour vérifier l’augmentation de mon taux. C’est Mr Papa qui regarde les résultats pour moi. Il me téléphone: « t’es une championne, le taux a presque quadruplé ! ». La secrétaire du Dr « M » me le confirme « vous êtes bien enceinte! » j’ai peine à y croire.
Les jours passent et je me plais à rêver de la chambre de mon bébé, je pense déjà à quelques prénoms…
Mardi 22 octobre, alors que tout se passe pour le mieux, au travail je me rends aux toilettes et là, l’horreur : ma culotte est pleine de sang, des gouttes tombent à même le sol, l’eau des toilettes est rouge. J’hurle, je pleure, ça m’apprendra à trop y croire, j’aurais pas dû, c’était trop tôt. Une collègue me ramène à mon domicile. L’après-midi, le Dr « M » me fait une échographie. J’entends encore ses mots « vous voyez, là, c’est votre embryon. Et si je zoome plus, ce qui bouge, c’est son cœur qui bat »! Je pleure encore et encore. Mon bébé est encore en moi, il s’est accroché. Plus de peur que de mal.
J’ai accouché le 7 juin 2020. J’ai eu une grossesse sans aucun maux, aucune douleur. Je remerciais chaque jour mon bébé, ma petite fille, d’être si sage à l’intérieur de moi. Je lui parlais beaucoup. Je suis tombée amoureuse d’elle dès la première « vraie écho ». Son profil m’a fait succombé. L’intensité de l’amour que l’on porte à son enfant, je sais ce que c’est, ça y est!
Sportive, je faisais 1h de sport tous les jours jusqu’à 7 jours avant d’accoucher. Je sais que j’ai eu énormément de chance, j’en suis consciente et reconnaissante. Une FIV ICSI qui fonctionne du premier coup, une grossesse de rêve, et un bébé magnifique… tout ça en parti grâce à toute l’équipe qui nous a si bien accompagné, mon conjoint et moi-même. Un grand MERCI
« D »

Il ne faut donc jamais perdre espoir – « N »

Merci à toute l’équipe de PMA qui a rendu possible notre projet de faire un enfant après 40 ans. Mes deux premiers enfants ont été conçus déjà par FIV lorsque j’avais 30 et 34 ans. Grâce à cette technique j’ai pu tomber enceinte dès la première tentative alors que ça faisait 5 ans que nous galérions avec les autres techniques (stimulation, insémination). Enfin nous voyons le bout du tunnel et notre rêve se concrétisait . Puis à 40 ans nous voulions retenter notre chance pour faire un troisième enfant. Ma gynéco m’a expliqué que les chances d’aboutissement n’étaient plus les mêmes à cet âge là. Nous avons réussi à mettre au monde mon troisième enfant après 3 tentatives de FIV. Ensuite quatre mois après mon accouchement j’ai découvert que j’étais enceinte à nouveau. Moi qui me croyais stérile, j’étais tombée enceinte naturellement à 43 ans… Il ne faut donc jamais perdre espoir.

« N »

Le jeu en vaut la chandelle – « E »

Bonjour à toutes !
J’ai eu la chance d’avoir 2 merveilleux enfants grâce au programme FIV. Alors oui, c’est pas facile tout les jours, les traitements sont lourds et fatigants mais le résultat est tellement encourageant. Pour toutes celles qui désespèrent, qui n’y croient plus, battez vous. Le combat n’est pas fini, soyez fortes. Le plus dur reste à venir (les nuits blanches, les coliques, les dents) mdr. Courage à vous toutes. J’ai eu des moments de doutes mais le jeu en vaut la chandelle vraiment.
Je vous souhaite à toutes de connaître ce bonheur.

« E »

Moi si c’était à refaire je recommencerai – « T »

Nous avons commencé le parcours PMA pour notre premier enfant en novembre 2014.  Nous avons fait une première FIV en mars 2015 et  on a mis un embryon en avril 2015 ce qui a marché du premier coup. Il est né le 4 décembre 2015. Notre fils s’appelle Maël. Notre deuxième enfant Elouan qui est né le 15 décembre 2019 a mis plus longtemps à venir : 2 ans de FIV dont une avec grossesse extra-utérine. On a mis durant les 2  ans, un embryon et il ne prenait pas.  Avec l’équipe de la PMA après ses 2 ans, on a changé de méthode, on a mis 2 embryons ce qui a donné une naissance. Je trouve que malgré les traitements qui sont lourds, qui peuvent nous donner des nausées, nous rendre malade,  il faut s’accrocher, rester positive, se battre car on sait pourquoi on le fait, pour notre bonheur à nous. Moi si c’était à refaire je recommencerai.

« T »

Cette envie d’avoir un enfant cela faisait 8 ans que l’on attendait – « C »

Tout d’abord, sans le soutien des membres de PMA et surtout ma gynécologue Dr « D » je n’aurais pas tenu.
Après 5 ans d’essai infructueux avec mon conjoint, Dr « S », gynécologue m’a fait faire des tests… On a constaté plusieurs problèmes. J’ai donc été envoyé vers le Dr « D » spécialisé en PMA qui a essayé de régler un problème à la fois !
Opération pour utérus cloisonné.
Essais d’inséminations 5 fois sans réussite
FIV 2 fois avec réussite d’une princesse née le 20 février 2020 dans vos locaux !
Il a fallu 3 ans de traitements pour réussir cette grossesse.
J’ai même fait une pause de 6 mois entre insémination et FIV pour penser à autre chose.
Pendant tout ce processus, j’ai été écouté par médecin et secrétaire… en comprenant notre détresse. J’ai été voir un psy pour me sentir moins coupable de cette situation vis à vis de mon conjoint.
Je faisais mes piqûres moi-même pour que mon conjoint ne le voit pas et que notre couple ne pense pas à ça tout le temps…
Mon travail était aussi beaucoup à l’écoute et me laissait aller à tous mes rendez-vous sans jugement..enfin c’était mon ressenti durant le processus (après ma grossesse et mon congé mat on m’a gentiment licencié en me disant ne plus avoir de place pour moi ! ) En effet, j’ai malheureusement dû être alitée dès le 3ème mois, d’abord chez moi et à la fin du 6ème mois chez vous pour placenta praevia.
L’équipe a aussi été formidable et à pris soin de moi pendant près de 8 semaines..
Cette envie d’avoir un enfant cela faisait 8 ans que l’on attendait.
Aujourd’hui nous sommes heureux parents d’une petite Maëlyne de 10 mois et demi et nous en profitons.
Il ne faut jamais perdre espoir.
Bon courage à toutes les femmes qui font ses démarches. Nous sommes très fortes et on ne pensait pas autant.
Bonne continuation.
« C »

Merci à vous – « C… »

Bonjour,

Je m’appelle « C… ». J’ai aujourd’hui 29 ans et je suis Maman de 3 enfants (2 ans pour notre aîné et nos jumeaux de 6 mois). Je suis également belle Maman d’un garçon de 9 ans qui vit chez nous en permanence.
Mon mari et moi avons eu la chance de pouvoir fonder une magnifique et grande famille grâce à la PMA de Nantes.

Atteinte d’endométriose, la FIV était pour nous la seule chance que de pouvoir avoir des enfants. Après 7 tentatives d’insémination (suivi à St Nazaire),  je suis prise en charge à Nantes ou la procédure de FIV se met rapidement en place. Et quelle chance ! Malgré le peu d’ovocytes ponctionnés, 1 embryon m’est transféré. 9 mois après notre 1er fils naît. Un miracle grâce à une prise en charge exceptionnelle. Nous avons eu la chance d’avoir des équipes à l’écoute, très professionnelles, rassurantes et si présentes (des secrétaires aux médecins sans oublier les infirmières et j’en passe).

1 an après nous nous relançons dans le protocole malgré l’appréhension. On me transfert 1 embryon cette fois ci aussi (après ponction également car je n’avais pas d’embryons de congelés) mais la vie a décidé de nous offrir 2 magnifiques petits garçons nés 8 mois après.
Deux nouveaux petits miracles sont donc venus agrandir notre si belle famille. Un rêve auquel nous commencions à renoncer avec mon mari avant d être pris en charge au centre de PMA de Nantes.
Un grand merci donc au centre de PMA de Nantes qui, grâce à leur savoir faire, permettent à des milliers de personnes de réaliser le rêve de toute une vie : fonder une famille. Merci de faire des miracles et de nous permettre d’endosser le rôle le plus important de notre vie.
Merci de continuer à nous suivre après la prise en charge également.
Continuez de donner espoir à ses futures familles qui attendent ce moment depuis, pour certains, plusieurs années.
Merci à vous.
Mr et Mme « M… », Heureux parents de Naël 2 ans, Elyam et Maho 6 mois et Nolan 9 ans.

C’est une expérience difficile mais ça en vaut vraiment la peine – « C »

Je souhaite vous encourager : « ne lâchez pas, c’est un parcours difficile mais ça en vaut vraiment la peine ». Après un parcours semé d’embûches, FIV, fausse couche, bébé blouse, fin des protocoles …. 4 ans de galères. La naissance de notre première fille « Romane » un miracle de la vie !!! Moi qui pensais ne jamais vivre le bonheur d’être parents. Puis 4 ans plus tard « Manon » la persévérance, toujours par FIV !!! A chaque fois que la FIV a fonctionné, dans ma tête j’étais complètement ailleurs « le lâcher prise » pour nos 2 Louloutes j’étais soit dans une réorientation professionnelle soit licenciée par mon employeur. Je ne crois pas que c’est du hasard, notre corps et esprit joue un rôle fondamental dans ce parcours du combattant !!! Je remercie toute les équipes de Polyclinique.

« C… »

L’envie de baisser les bras a été forte – « C… »

Nous sommes les heureux parents de 2 enfants que nous avons eu avec l’aide du centre Pmatlantique. Nous avons eu deux parcours bien différents. En septembre 2015, après plus de 2 ans d’arrêt de pilule, et 6 inséminations qui furent un échec, notre gynécologue à la clinique Océane sur Vannes nous a orienté vers le Dr « X » à la clinique de l’atlantique pour envisager une FIV. C’est là que nous mettions tous nos espoirs. Un suivi parfait du Dr « X »en lien avec la clinique sur Vannes et une secrétaire en or ont permis de rendre plus sereine cette stimulation. C’est tellement précieux dans nos parcours. La ponction a eu lieu le 10 septembre 2015 et nous a permis d’obtenir 3 blastocystes.Un transfert frais quelques jours plus tard m’a donné mon premier test de grossesse positif! Quelle joie et quelle angoisse en même temps. Je réalisais la chance que nous avions que ce soit positif dès ce premier transfert. Le 25 mai 2016 naissait notre fils Naël pour notre plus grand bonheur et en même temps avec beaucoup de craintes car celui-ci a dû être réanimé à la naissance et a passé 10 jours en néonat suite à une infection. Aujourd’hui il va très bien mais cet épisode nous a rappelé combien la vie est précieuse et que rien n’est gagné tant qu’on ne tient pas notre bébé dans les bras. Après notre combat pour obtenir cette grossesse, c’est notre bébé qui se battait à son tour pour lutter contre cette infection. 1 an après la naissance de Naël nous envisagions de relancer le parcours pour avoir un 2ème enfant. Je prenais RDV avec le Dr « X » et quelques jours plus tard j’apprenais que j’étais enceinte naturellement. Cette joie fut de courte durée car se solda par une fausse couche. Celle-ci sera la première d’une longue série. Le RDV a donc lieu avec le Dr « X » et nous programmons un TEC pour la rentrée de septembre2017. C’est sans compter sur une nouvelle grossesse naturelle suivie à nouveau d’une fausse couche qui vint perturber le planning. En novembre 2017 aura lieu ce TEC qui se terminera par une grossesse biochimique. 3ème fausse couche précoce. Cette fois le parcours s’avère bien différent du premier mais pas moins douloureux. Nous qui envisagions un parcours plus simple pour ce 2ème enfant avec 2 embryons congelés, nous n’étions pas au bout de nos surprises. En février 2018, nous transférons notre dernier embryon congelé issu de notre FIV de 2015. Nouvelle grossesse et nouvelle fausse couche à 1 mois de grossesse. Le moral était au plus bas. Les bilans n’ont rien donné, pas d’explications claires à ces fausses couches mise à part une insuffisance ovarienne prématurée. Nous repartons au combat et retentons une nouvelle FIV. A nouveau 3 embryons au stade blastocyste en ressort. Un transfert et à nouveau une grossesse qui se soldera encore en fausse couche à 1 mois de grossesse et nécessitera un curetage. L’envie de baisser les bras a été forte car a au niveau émotionnel c’était très dur à vivre mais nos gynécologues nous ont dit de nous accrocher et le désir d’enfant nous donne une force et un courage que jamais je n’aurais imaginé. Nous tentons à nouveau un TEC en octobre 2018, TEC gagnant qui m’a permis de donner naissance à notre fille le 16/06/2019 pour la fête des pères! Cette grossesse a bien évidemment été très stressante avec l’angoisse de perdre à nouveau ce bébé mais elle est bien là aujourd’hui. Nous sommes donc parents de 2 beaux enfants grâce à la PMA. Ça été un combat mais celui-ci en valait la peine et j’ai conscience de notre chance de sortir de ce parcours avec 2 enfants. Tous les couples n’ont pas cette chance. J’espère que mon témoignage pourra donner de l’espoir aux femmes qui vivent des fausses couches à répétition. Je remercie vraiment le Dr « X » qui a été à nos côtés. Je ne me suis jamais sentie un numéro en allant le voir. Il prend soin de ses patientes et à vraiment à coeur son métier. Il m’est arrivée de l’avoir au téléphone un dimanche pour nous donner des nouvelles de nos embryons. Toujours un geste affectueux et un petit mot rassurant avant les ponctions. C’est rare de nos jours de rencontrer des médecins, qui malgré leur planning surbooké n’oublient pas le côté humain et je le répète c’est tellement précieux dans nos parcours si difficiles pour avoir un enfant. Nous aurons certainement l’occasion de retourner au centre Pmatlantique car il nous reste un embryon congelé que nous ne souhaitons pas détruire alors peut-être ce dernier embryon nous permettra une nouvelle fois d’agrandir notre famille. En tout cas un grand merci à toute l’équipe de la PMA.

« C… »

Ce sentiment d’injustice qui grandit – « C… »

L’histoire commence lorsque j’ai 17 ans. Des douleurs de dos régulières et une année entière à m’assoir sur un bouée parce que j’aurais un coccyx « mobile ». Des manipulations pour remettre ce coccyx en place mais pas d’amélioration. C’était, en fait, cette saleté d’endométriose qui s’installait gentiment à l’intérieur de moi.
Les années passent, on apprend à supporter la douleur.
Et puis cette envie, présente au fond de moi depuis toujours, de fonder une famille, d’avoir un bébé, alors quand l’homme idéal se pointe on se lance.
Arrêt de la pilule, que je prenais depuis mes 15 ans, et chaque cycle plein d’espoir. On vous dira qu’il ne faut pas se focaliser sur ce projet, que ça viendra quand ça sera le moment, mais soyons clair, ce qu’il se passe dans notre coeur, dans notre tête : on ne le contrôle pas…
Les mois passent, ils ne se passe rien. Enfin rien, non pas vraiment. J’ai de plus en plus mal au dos, je suis constamment épuisée, je n’ai plus trop la force de sortir le week-end, les rapports avec mon mari commencent à devenir inconfortables. Alors je consulte pour trouver la cause de ces douleurs de dos qui me clouent au lit. Là, j’ai la chance d’avoir une généraliste qui connaît cette maladie, et après avoir effectué scanner et autres, du dos sans résultats, elle m’envoie consulter un gynécologue. Je le choisis près de chez moi pour une question pratique. À la consultation j’explique mes douleurs, le fait que nous n’arrivons pas à faire d’enfant depuis 1 an. J’insiste sur mes douleurs car elles me gâchent la vie. Le médecin me fait une écho et sans même m’ausculter me dit : « vous êtes en pleine ovulation, il n’y a pas de problème, espérons que ça arrive au plus vite. »
Je rentre chez moi, les semaines passent j’ai de plus en plus mal, au ventre, au dos. Alors je retourne voir mon médecin. Elle pense vraiment que ça pourrait être de l’endométriose alors elle m’oriente vers un centre qu’elle connait : la Polyclinique de l’Atlantique.
Je rencontre un premier gynécologue, qui, en m’oscultant comprend tout de suite qu’il s’agit bien de ça. Sur le coup, je suis tellement soulagée qu’on mette enfin un mot sur mes douleurs, je pense donc que j’aurais des solutions pour les soulager. Et puis je me renseigne, je comprends que ce n’est pas une si bonne nouvelle que ça.
Après examen et rendez vous avec un chirurgien le verdict tombe : endométriose de stade 4 avec nodule sur la paroie recto vaginale. L’opération n’est pas indiquée pour le moment en raison de sa localisation, elle ne le sera que si ma qualité de vie est vraiment altérée.
On prend en charge notre désir d’enfant et nous sommes dirigés vers un autre gynécologue dans le but de commencer un parcours de PMA. Pleins d’espoirs nous commençons notre premier protocole de stimulation en vue d’une FIV. Me faire les piqûres moi même est éprouvant pour moi, mais notre détermination est plus grande encore. La stimulation se passe bien, la ponction est satisfaisante, nous attendons le 5 ème jour avec impatience pour le transfert d’embryon. Nous sommes heureux d’avoir enfin une vraie chance d’avoir un bébé. Nous sommes préparés au fait que ça ne fonctionnera peut être pas mais au moins nous avons une chance… finalement pas encore… le téléphone sonne, le matin du transfert, pour nous dire qu’il n’y a pas d’embryon à transférer. Là c’est un peu la chute libre, cette chance qu’on peut presque toucher du doigt et qu’on voit finalement s’évanouir au dernier moment. Les annonces de grossesses qui continuent autour de nous, ce sentiment d’injustice qui grandit. Chacun gère ces moments là comme il le veut, comme il le peut. Peut être en famille, avec son mari ou sa femme, un professionnel, seul, avec un ami ou des inconnus sur un forum.
Nous avons été accompagné quelques mois plus tard pour une deuxième tentative, une FIV ICSI cette fois ci. Nous nous étions préparés, ce coup si, à l’éventualité qu’il n y aurait peut être pas d’embryon à transférer. Quand le téléphone sonna, le matin du transfert, ma gorge se noua, ils m’appelaient pour m’annoncer la mauvaise nouvelle… en fait non on me confirmait que le transfert avait bien lieu. Soulagement intense d’avoir enfin notre chance après 2 ans d’attente pour ce bébé. Le transfert se fait, je suis heureuse et je décide que tant qu’il n’y a pas d élément montrant que ça n’a pas fonctionné, je suis enceinte. Les jours passent, l’impatience de savoir si ça a fonctionné grandit et au matin de la prise de sang je fais un test de grossesse. LE test de grossesse qui me dit que oui ! Éclats de joie à 5h du matin, nous attendons la prise de sang avec impatience pour confirmer ce positif. J’ai vécu une grossesse parfaite, je l’ai affichée fièrement, j’en ai profité jusqu’au bout, j ai savouré ce que nous avons attendu si longtemps. J’ai réalisé la chance que nous avions que ça prenne aussi vite, car ce qui nous a paru une éternité n’est rien à côté du parcours de certaines femmes, de certains couples… parce que la PMA c’est une histoire qu’on ne vit pas seule, tout comme l’endométriose, ça a des répercussions sur le couple, sur la famille. Et les parcours, longs ou moins longs, peuvent mettre à mal l’équilibre que l’on avait auparavant.
Trois ans après cette réussite nous avons voulu retenter notre chance et nous sommes aujourd’hui parents de 2 magnifiques enfants,  qui ne seraient pas là sans la science, l’équipe de PMA de la polyclinique et leur accompagnement. Après chaque naissance, ils m’ont accompagné dans la prise en charge de l’endometriose et des douleurs qu’elle provoquait chez moi. Aujourd’hui j’ai une vie tout à fait normale en grande partie car nous avons trouvé ce qui me convient.
Parfois, souvent même, le parcours PMA est long, difficile, on doute, on a de la peine, on est prêt à tout, puis on veut tout abandonner, on perd espoir, on abandonne tout, et on recommence, mais le résultat est tellement beau… ça vaut le coup de se battre si c’est ce que l’on souhaite. La PMA nous fait vivre des moments difficiles mais aussi nos plus belles émotions.
La PMA c’est comme les montagnes russes, on passe par tous les états, parfois en quelques minutes. Mais ce n’est pas grave, vivre son émotion pour pouvoir passer à la prochaine, ça fait parti de l’aventure. Et comme les montagnes russes, lorsqu’on en descend, on ne veut pas y remonter tout de suite, mais quelques mois plus tard c’est oublié et on recommence, pour le plus beau cadeau du monde…
« C… »

La patience allait être notre mot pendant plusieurs années – « C… »

Ça y est nous sommes décidés à nous lancer dans la grande aventure de la procréation en décembre 2015. Je dis grande car nous allons apprendre que la patience allait être notre mot pendant plusieurs années.
Avec mon amoureux on s’était dit que ça pouvait prendre quelques mois donc pas de stress ça viendra quand ça voudra.
Sauf qu’au bout de 6 mois je commence à me dire quelque chose ne va pas… mon amoureux est suivi pour la maladie de Crohn et à des piqûres donc je me dis « peut-être que ça joue sur la fertilité… » dans le doute on en discute avec notre gynéco qui n’a pas de retour concernant son traitement et préfère nous diriger vers la PMA la plus proche.
En septembre 2016 nous commençons les analyses pour la PMA, analyses plutôt simples au départ.
En décembre 2016 nous rencontrons notre gynéco PMA et lors de l’entretien rien ne « cloche » concernant mon amoureux mais le gynéco commence à me poser des questions et bizarrement je sens que mes réponses ne sont pas celles attendues…
Le gynéco me dit « au vu de notre entretien je pense plus que le souci vient de vous madame mais pour en être sûr il faudrait que je fasse une cœlioscopie, êtes-vous d’accord ? »
Première claque pas simple à encaisser surtout quand on a l’impression que tout est normal.
Alors j’accepte.
En février 2017 le diagnostic tombe : endométriose.
Des nodules ont été retirés.
Maintenant le médecin nous donne 2 mois pour un essai naturel et après nous passerons directement par une FIV.
Mai 2017, une grossesse surprise qui se solde par une fausse couche. Grosse déception pour nous mais nous croyons en l’avenir.
En décembre 2017 nous effectuerons notre première FIV c’est là que je découvre ce long parcours entre piqûre, saut d’humeur, travail.
Nous effectuons la ponction mais au réveil nous tombons de haut, le gynéco me dit que mes ovaires sont fainéants et que je dois avoir un souci supplémentaire.A mon âge je devrais bien répondre au traitement mais ce n’est pas le cas.
Nous attendons l’appelle pour savoir s’il y aura transfert mais aucun embryon ne tiens le coup.
Très dur à encaisser , je me dis tous ça pour rien!!!
Le gynéco me propose de faire une hystéroscopie… une quoi ??? Bon je vois vite que ça va pas être drôle drôle mais ça va en fait y a pire…
Nous retentons une seconde FIV en avril 2018 mais cette fois-ci les dosages sont nettement augmentés, j’appréhende beaucoup cette seconde FIV avec ses nouveaux dosages.
Je sens que mon corps réagit mais peut-être un peu de trop… Au réveil mon gynéco me dit que c’est un réel succès car il a pu ponctionner 26 follicules mais que je risque d’avoir très mal et c’est normal.
Nous sommes heureux de ce résultat et on y croit.
En rentrant à la maison le soir même je me sens pas forcément bien et je vais aux urgences car j’ai mal, on me dit que je fais une hyperstimulation et que ça va passer.
En quelques jours tout s’enchaîne, nous attendons ce fameux coup de fil si redouté.
2 embryons sont restant à J5 et petite surprise à J6 un embryon de plus.
Je me dis que ce n’est pas beaucoup au vu du nombre de départ mais cette fois-ci il y aura bien un transfert donc je relativise.
Nous allons à la PMA un dimanche pour le transfert, mais là encore nouvelle déception car le gynéco me dit que le transfert n’aura pas lieu car je suis en hyperstimulation et que le transfert risque d’aggraver les choses.
Après coup je suis soulagée car je n’aurais pas pu prendre la décision seul et puis je fais une confiance aveugle au gynéco.
Ensuite nous enchaînons deux transferts d’embryons congelés qui se solde à chaque fois par une fausse couche.
Nous faisons un dpi pour voir si il y a une anomalie quelconques… résultats RIEN. Bonne nouvelle, nous voilà rassuré.
Car oui, les embryons prennent et ensuite au bout de 1 mois un mois et demi le cœur s’arrête pour rien.
Après ces deux transferts échoués, le moral est au plus bas. Il nous en reste 1 et celui-ci c’est le J6.
Depuis le début avec mon amoureux on s’était dit : « c’est un coriace et une belle surprise » on croyait en ce dernier.
Nous effectuons le dernier transfert en octobre 2018 et là de nouveau un positif mais cette fois-ci les taux sont vraiment élevés et double voir triple. Je veux et on veut y croire, bien sûr on se ménage et on envisage le pire…
Première échographie en janvier 2019 et là un beau petit embryon avec un cœur en pleine forme. Nous allons faire la rencontre de notre « coriace » en juillet 2019.
Il s’appelle Gabin et est un véritable bonheur et une boule de joie.
La leçon que j’ai pu tirer de ce parcours douloureux est de s’entourer de vraies personnes qui nous aiment et surtout positifs, et laisser le reste.
Prenez soin de vous et de votre couple c’est le plus important et ne cessez jamais de rêver car un jour ce rêve deviendra réalité.
« C… »

Je ne demandais que ça depuis 3 noël ! – « F… »

Notre loulou est arrivé en novembre 2018, un beau cadeau de noël (il faut dire que je ne demandais que ça depuis 3 noël !) Mon vœu s’est exaucé ! La preuve que ça n’arrive pas qu’aux autres… Aujourd’hui nous fêtons notre deuxième noël avec notre loulou de 13 mois. Voici son histoire. Au bout d’une année, nous décidons de prendre rendez-vous à la polyclinique. Les différents examens ne montrent rien d’alarmant mais pourtant bébé ne vient pas et c’est bien connu, quand on a envie d’avoir quelque chose, on a envie de l’avoir maintenant. On est plutôt confiant et j’ai la chance d’avoir un conjoint très optimiste. Des stimulations simples vont certainement nous donner un petit coup de pouce, sans succès. J’avoue que nous avons trouvé cette méthode très difficile pour notre couple. Mince l’année 2016 est déjà terminée, 2017 sera la bonne. Le temps ! tout prend du temps, le mois, les années passent. On voit les autres avancer et nous une impression de stagner. Quelle douleur de voir des femmes enceintes dans la rue ou des amies nous inviter à leur babyshower. 1ère FIV, après avoir passé tout le protocole (piqures, échos, prises de sang, ponction), deux chances s’offrent à nous. Deux petits esquimaux comme dirait Dr X . Le transfert a lieu courant avril et la prise de sang aux alentours du 1er mai. J’habite en campagne et le laboratoire met beaucoup beaucoup de temps pour divulguer les résultats. Un stress en plus. Surtout que ce week-end de trois jour s’il y a eu un problème informatique et il nous faudra attendre trois jours de plus… pour un résultat positif. Que de bonheur. Tout s’enchaine dans ma tête dans neuf mois, il sera là, ce sera un verseau, comment je vais l’annoncer, fille  ?garçon ?… Bon deux jours après résultat négatif, ce résultat : <5 je le déteste! Déception terrible pour ce 1er essai et puis nous avons eu une seconde déception en septembre avec le 2° et dernier embryon. Quelle tristesse cette fin d’année, impossible de faire une nouvelle ponction, des kystes sont apparus. J’ai dû reprendre la pilule pendant un mois pour retrouver un cycle normal et pour se débarrasser de ces satanés kystes. Janvier 2018, c’est reparti avec un mental au top (merci mon cher et tendre) après tout c’est que notre 1ère chance! On recommence le protocole (piqures, échos, prises de sang, ponction), trois chances. Nous essayons un transfert d’embryon frais, négatif tout de suite, grrr. Deuxième essai en mars le résultat est positif, bon on ne s’emballe pas, on va attendre la deuxième : toujours positif mais le taux n’a pas doublé, monté mais pas doublé, je suis assommée, tellement déçue. Pourquoi ça ne fonctionne pas, pourquoi les embryons ne tiennent pas dans mon corps ? « J… », la secrétaire du Dr X me dit clairement que les résultats ne sont pas bons et de ne pas me faire de faux espoir. Je suis fatiguée psychologiquement. Le lendemain, l’infirmière revient à la maison pour une dernière prise de sang. Une chose qui m’était insupportable, c’est d’attendre et de regarder les résultats, d’ailleurs c’était la mission de mon cher et tendre. Au bureau, j’attends le verdict de mon cher et tendre. La lumière verte apparait (ce qui signifie message), je regarde et je vois 742. Je ne comprends rien. Je me fais le calcul dans ma tête, je ne sais pas si je dois y croire ou pas. Une demie heure plus tard, je reçois un appel de Johanna, le taux parfait! félicitation! Il s’est accroché ce petit esquimau. J’ai vécu à suivre une grossesse parfaite, je n’ai pas été malade, je vous avoue que j’ai eu du mal à y croire pendant 9 mois. Peur de le perdre…Mais quand je l’ai tenue dans mes bras, je me suis sentie enfin maman, une maman tellement heureuse. J’ai beaucoup de personnes à remercier pour m’avoir accompagné dans ce combat. Les infirmières pour leur positivité. Dr X pour ses disponibilités (dimanche ou tard le soir), son professionnalisme et sa douceur. « J… » pour son écoute et ses disponibilités (elle ne travaillait pas le jour de mes résultats). Aux laborantins pour leur performance. Je suis épatée par les progrès de la médecine et notamment le parcours de PMA. Et surtout un grand merci à mon cher et tendre d’avoir toujours cru en nous et en ce bébé.

« F… »

Il ne restait qu’un embryon… – « M… »

Nous nous sommes rencontrés en octobre 2009.
Très vite, nous avons voulu fonder une famille, notre famille !
Au bout d’un an d’essai, nous avons consulté.
Mon gynécologue m’a dit on se laisse encore un peu de temps.
Puis nous avons été consulté au centre PMA de la « R… ».
Nous avons fait 4 inséminations qui ont été négatives.
Mais comme j’avais pris beaucoup de poids pendant les traitements… ils ne voulaient pas que l’on passe en FIV.
Entre-temps, j’ai perdu ma maman… donc nous avons fait une pause.
Mais au bout de 3 ans, nous avons décidé de reprendre le chemin de la PMA mais à Saint-Herblain cette fois pour un nouvel avis.
Le rdv avec Dr « X » nous a rassuré, et il nous a dit qu’il était possible que l’on passe en FIV ICSI directement malgré mon IMC très élevé.
Donc nous commençons les traitements.
Puis le 29 septembre 2018, la ponction a eu lieu.
Au bout de 5 jours, il ne restait qu’un embryon mais nous croyons fort en notre petit warrior.
Nous faisons le transfert.
Résultat prise de sang le 15 octobre 2018, positif… taux qui augmente tous les 2 jours.
Mais des saignements; nous avons peur d’une fausse couche mais non petit warrior s’accroche.
La grossesse se déroule merveilleusement bien car c’était notre plus grand rêve… malgré un diabète gestationnel.
Le 10 juin 2019, je fissure la poche des eaux.
Donc on va au CHD de la « R… ».
Et la verdict ils me gardent. On sortira à 3.
Place à de l’excitation mais la peur également.
Le travail n’avance pas, donc déclenchement avec 2 tampons propess et 1 ballonnet.
Toujours pas d’accélération, donc on me pose la perf d’ocytocine.
Son petit cœur ralentit, donc on fait une césarienne d’urgence.
Petit Evan est né le 14 juin 2019.
Notre petit warrior a eu 6 mois et il émerveille notre vie.
Merci encore beaucoup à vous pour nous avoir permis de vivre ce bonheur et d’avoir su trouver les mots pour nous rassurer.
« M… »

A très vite pour notre petit 2ème ! – « M… »

OPK et OATS extrême, après 1 an d’essai et de paperasse et 2 ans de PMA, je suis tombée enceinte au bout 3 fiv icsi et un essai TEC  grâce à la technique time-lapse. Notre petite fille est arrivée en avril et se porte à merveille. Un grand merci à toute l équipe gynécologique et PMA de nous avoir aidé et soutenu durant cette période charnière de notre vie .
Sans eux nous n’ aurions pas pu être les parents comblés que nous sommes aujourd’hui.
À très vite pour la conception de notre petit 2ème !
« M… »

Ca ne fonctionne pas que pour les autres – « A… »

Pour moi l aventure a commencé  il y presque 7 ans. Comme tout couple , nous avions des projets et le plus grand, avoir un enfant ce qui s’est révélé pour nous bien plus compliqué.
Après des mois d’essais sans résultat, nous avons décidé de consulter , pour savoir et se rassurer aussi. Et là notre aventure PMA a commencé.
Quelque examens pour Madame et un prélèvement pour Monsieur, et voilà sans la médecine, pas de bébé. Un coup sur la tête au début et puis le Dr « X » nous explique ce qui peut être fait et c’est parti pour notre combat , qui commence par 5 inséminations infructueuses, déception et avec la fatigue, l’espoir s’en va.
Et un autre rendez-vous avec notre médecin en vu d un protocole FIV , le dernier espoir, rendez-vous avec le Dr « Y », explication et nouveau protocole pour la FIV N°1 , prise de sang , injections et arrive la ponction, suivi du transfert d’embryon. Et là on croise les doigts jusqu’à la prise de sang pour le résultat. Plusieurs jours d’attente, et enfin c’est le jour où l’on va savoir : résultat POSITIF, un vrai miracle pour nous.
Maintenant , nous avons deux petites filles en parfaite santé , qui nous couvrent de bonheur, chaque jour.
Tout ça pour dire, ça peux être long, fatiguant physiquement ou psychologiquement, ça vaut le coup et ça ne fonctionne pas que pour les autres, gardez espoir, nous avons attendu notre bonne nouvelle presque 3ans.
Je remercie par la même occasion tous les médecins, biologistes, secrétaire qui nous a bien soutenu , sage-femme, qui nous ont accompagnés tout au long de cette aventure .
Merci

« A… »

Vous nous avez changé la vie – « L… »

Notre histoire est là suivante :
Nous avons voulu un enfant depuis que nous nous sommes rencontrés en octobre 2011. Nous savions que nous aurions du mal à cause de mon endométriose. J’étais sous traitement de ménopause artificielle.
Dès le traitement terminé en janvier 2012 on a essayé en vain , naturellement ça ne fonctionnait pas.
Après plusieurs rdv médicaux on a pu commencé qu’en 2014 les Fiv mais directement car mon taux d’AMH était très bas car mal opéré en 2011 on m’a touché ma réserve ovarienne , en + de l’endométriose ça n’aide pas. J’ai fait une première Fiv qui n’a pas fonctionné. On nous a dit que mes ovocytes étaient défectueux.
Une seconde Fiv en 2014 qui a fonctionné avec 2 embryons insérés. Sauf qu’il y a eu fausse couche à 9 semaines. Les stimulations ont abîmé mon corps car l’endométriose n’aime pas être stimulée donc grosse opération de 6h en 2015 sur Nantes. Coupé un bout de vessie, rectum touché … ensuite je devais refaire une Fiv mais j’ai eu peur que ça m’inflamme de nouveau et que je finisse avec une poche, donc on a abandonné. Je me suis consacrée au mariage en 2016.
Puis, on s’est inscrit pour l’adoption. Encore un dure combat. On a enfin eu notre agrément.
J’ai voulu retenter une dernière fois la Fiv dans un Nouveau Centre dont j’ai appris l’efficacité par des amis endogirl qui ont réussi à tomber enceinte après un dure combat.
On commence donc la Fiv en janvier 2018 avec le Dr X à la clinique de Saint-Herblain et ça a fonctionné. Sur 10 ovocytes ponctionnés il en restait qu’un seul à la fin, je n’ai jamais pu en congeler . Et c’est ce seul magnifique embryon qui a donné un bébé. Pourtant j’ai perdu du sang comme mes règles au début donc on y croyait plus. Les 3 premiers mois stressants. J’ai fissuré la poche des eaux à 31 SA donc fini en grossesse à risque jusqu’à 37 SA où on m’a déclenché. Mais ça n’a pas marché donc fini en césarienne.
Un dur parcours tout ça, mais notre bébé, le plus beau cadeau de notre vie est enfin parmi nous depuis le 28 septembre 2018.
Merci de nous avoir aidé. Vous nous avez changé la vie.
« L… »

6 ans d’attente – Guillaume et Karine

tout simplement merci, après plus de 6 ans d’attente vous nous avez enfin permis de construire notre famille. Je recommande votre clinique très humaine et où je me suis toujours sentie soutenue et écoutée

Merci à vous tous – Nicolas et Anne

après 3 FIV ICSI et 1 IMSI on a enfin eu notre +++++. Merci à vous tous

Un centre qu’on recommande – Marion

un centre de traitement de la fertilité que l’on m’avait recommandé et je ne peux faire que de même pour les autres avec une grossesse obtenue très vite et en plus j’ai été accouché par mon gygy. Vraiment trop bien.

Super équipe – Claire

J’ai passé 3 ans en traitement dans votre centre, il y a eu des moments difficiles mais l’équipe a toujours été super et m’a toujours soutenue le moral. Grace à vous tous j’ai tenu et notre perle est enfin à la maison. Merci merci

Une équipe agréable – Julie et Mathieu

une prise en charge rapide efficace avec une équipe très agréable. Rien à dire si ce n’est merci pour notre petit bonheur…..

Du premier coup… – Marie et Gabriel

Une FIV qui a marché du premier coup et un accouchement super avec mon gygy .Vraiment merci. A bientôt pour notre deuxième.

Des explications très claires – Julie et Olivier

Merci aux biologistes pour leurs explications très claires et leur disponibilité.

Un grand merci – Valérie et Arnaud

Nous souhaitons vous adresser un grand merci pour votre accompagnement dans notre parcours PMA ainsi que pour votre disponibilité à la naissance de notre petite Alicia. Merci aussi à tout l’équipe de PMA et à Camille, la sage femme présente lors de l’accouchement. Nous vous serons toujours reconnaissants de nous avoir aidés à devenir parents

Perles de vie – Céline et Patrice

Simplement merci pour ces perles de vie, vous faites partie de notre histoire…

Avec plaisr et émotion, ce sont dans vos bras que nos enfants ont respiré pour la première fois…beaucoup de reconnaissance

Un énorme merci – Alain et Annabel

Un énorme merci au Dr M. qui a changé notre vie grace à sa persévérence. Apres 3FIV, 3TEC et une fausse-couche nous sommes aujourd’hui les heureux parents d’une petite Naïa. Il a toujours été génial avec nous, rassurant et surtout il y a toujours cru (bien plus que nous)…
Super centre et super gygy que je recommande.
Merci encore pour tout, vous êtes notre magicien
Alain et Annabel

Est-ce qu’on pourra avoir des enfants ? – Louise et Raphael

Un problème d’infertilité masculine rapidement identifié nous a conduit à faire appel à l’équipe de PMA de la polyclinique.
Au moment du diagnostic, c’est un peu un monde qui s’écroule, des projets qui semblent s’envoler. Est-ce qu’on pourra avoir des enfants ? Et si on devait adopter ? On se pose beaucoup de questions auxquelles on est pas préparé et on essaye d’imaginer toutes les issues possibles.

Pendant quelques jours ça a été un coup à encaisser et puis on a rencontré le médecin qui a construit avec nous un projet de PMA, pour nous, une FIV ICSI.

Un parcours FIV, ça n’est pas quelque chose de simple pour le couple. C’est vrai qu’on a enchaîné des moments d’espoir et des déceptions douloureuses. C’est primordial d’être bien entourés par les proches et par l’équipe médicale. Nous avons trouvé à la polyclinique, des gens exemplaires, passionnés, professionnels, toujours à l’écoute. Jamais notre confiance n’a vacillé. Ils étaient là, les médecins, le labo, les secrétaires, disponibles, rassurants.

Et les résultats ont été au rendez-vous : un premier rendez-vous avec notre médecin en septembre et notre fils est né le 1er novembre de l’année suivante.

En quatre ans nous avons eu deux enfants, un garçon et une fille. Deux petits miracles ou deux belles réussites pour la PMA ?

Si nous devions donner un conseil aux couples dans notre situation, ça serait de ne pas perdre espoir et de prendre les choses naturellement. De ne surtout pas hésiter à en parler à la famille et aux amis qui ne comprendraient pas vos baisses de forme ou de moral.
Pour tout le reste, l’équipe de la polyclinique est là et nous sommes convaincus qu’ils sauront vous épauler comme ils l’ont si bien fait pour nous. Après deux enfants nous avons choisi de laisser la place aux autres.

Nous sommes tristes car nous n’aurons plus l’occasion de revoir ces hommes et ces femmes qui nous ont accompagnés pour cette grande étape de notre vie.

Gardez espoir – Nathalie et Sébastien

Après 3 ans et demi d’attente et deux  FIV ICSI qui ont échoué nous nous sommes dirigés vers la Polyclinique en octobre 2012 et ça a fonctionné du premier coup !…

Nous attendons notre enfant pour le mois d’octobre.
Je voudrais dire à  tous les couples de ne jamais perdre espoir et d’écouter son coeur avant d’écouter les médecins…

Merci à  toute l’équipe et tout particulrement au Docteur que nous avons trouvé tres disponible et tres humain.
Je n’oublie pas sa sectaire qui est arrivée au moment où je commencais les traitements et qui a fait preuve de beaucoup de gentillesse et d’un grand professionnalisme malgré son manque de connaissance dans le domaine de la PMA donc merci à  elle aussi…

Bon courage à vous qui êtes également dans l’attente d’une grossesse et gardez espoir…

Nathalie et Sébastien

Parents heureux – Cynthia

Nous avons la chance d’etre les heureux parents de Luka 22 mois et d’Emma qui vient d’avoir 2 mois.
Nous avons été suivi pendant 5 ans dans un autre centre de PMA ou nous y avons effectué aucune FIV pour causes diverses. J’ai alors décidé il y a 3 ans de me diriger vers le centre de St Herblain ou j’y avais eu de bons échos. 4 mois après nous avons une FIV ICSI et 9 mois plus tard Luka est arrivé. 1 an et demi après Emma est arrivée avec un transfert d’embryon congelé. Bilan : en 3 ans nous avons 2 enfants grâce a toute l’equipe de St-Herblain, un grand merci a eux. Pour tous les couples qui sont suivis par le centre PMA il ne faut pas perdre espoir, faites confiance au medecin qui fera tout pour vous aider comme ils l’ont fait pour nous.

Cette seconde tentative a été concluante – Nath et Gwen

En septembre dernier (ponction le 9), nous avons réalisé une FIV ICSI avec le Docteur X, et l’équipe médicale de la polyclinique. Cette seconde tentative a été concluante ! Nous avons eu, hier, l’échographie des 12 SA. Pour le moment tout se passe pour le mieux.
Un grand merci au Docteur et à l’équipe médicale pour cette réussite.
Un grand merci à vous également pour votre patience et la sérénité que vous dégagez lors des appels quotidiens en phase de stimulation. Cela m’a été très précieux et m’a permis d’être en confiance.

Bonne continuation à vous.
Nath et Gwen

Conseil : garder espoir – Nathalie et Luc

Message : Juste quelques mots pour remercier le Docteur  de son soutien, de son écoute, de sa disponibilité et surtout de sa persévérance car grâce a lui nous sommes les heureux parents d un petit Ervan ne le 22-10-2014 apres un long parcours de 10 ans commence dans un autre centre de PMA , nous voilà arrivés a la PCA et la rencontre avec le Docteur,  et apres une escale à Rennes pour un don d ovocyte sur les conseils de Docteur.
On est pret a apporter notre soutien aux personnes qui comme nous traversent ce long parcours parfois difficile
Conseil : garder espoir
Pour finir : encore merci au Docteur  et à sa secrétaire tres professionnelle et disponible toujours un petit mot pour remonter le moral.
Et oui la vie n est pas un long fleuve tranquille mais on peut y arriver
alors MERCI Docteur on ne vous remerciera jamais assez

Parce que sans vous – Amandine et Ghislain

Parce que sans vous, notre plus beau projet n’aurait pas vu le jour.

Nous tenous à vous adresser toute notre reconnaissance et vous remercier pour votre disponibilité et votre soutien dans cette épreuve que nous avons traversée.

Merci à toute l’équipe médicale et du service de PMA.

Merci pour notre petit Alexis

un travail d’équipe – Céline

A 30 ans tout juste on nous a fait comprendre qu’avoir un enfant relèverait pour nous deux du parcours du combattant, et qu’il serait bon d’envisager l’adoption. On a fait quelques détours puis des amis nous ont orientés vers le docteur X. Quelques semaines plus tard, Lison commençait son voyage in utero pour arriver à bon port. Son petit frère Arthaud l’a suivie sans encombre et dans les mêmes conditions pour naître cet été. On a pris l’habitude de présenter nos enfants comme le fruit de notre amour et… d’un travail d’équipe ! Cette expression peut surprendre mais dit bien ce que nous avons vécu. Et elle délie les langues des couples concernés et trop souvent isolés…

Merci à toute l’équipe

« 2ème rencontre autour de la fertilité »

Journée très enrichissante et remplie d’informations importantes. Les témoignages de couples sont très intéressants. La visite du laboratoire est essentielle. Merci à toute l’équipe d’avoir pris le temps d’organiser cette journée. On sent que l’humain est au centre de vos motivations.

Mini-conférences

« 2ème rencontre autour de la fertilité »

Mini-conférences bien rythmées et enrichissantes.

Merci

« 2ème rencontre autour de la fertilité »

Nous avons visité le laboratoire suite à une FIV qui a fonctionné. Cela nous aidera beaucoup pour expliquer à la petite comment elle a été conçue. Merci.

Un grand merci à l’équipe du laboratoire

« 2ème rencontre autour de la fertilité »

Nous vous remercions pour cette journée intéressante et indispensable pour débuter un parcours de FIV ICSI. Un grand merci à l’équipe du laboratoire.

Accueil parfait

« 2ème rencontre autour de la fertilité »

Accueil parfait même si on ne connaît pas la clinique.

Bonne organisation

« 2ème rencontre autour de la fertilité »

Bonne organisation. Le fait que les mini-conférences aient lieu plusieurs fois dans la journée donne plus de chance d’y participer. C’est également très bien de pouvoir rencontrer les praticiens. Les chocolats de Noël étaient très appréciables!!!

Merci pour cette proposition de journée

« 2ème rencontre autour de la fertilité »

Journée intéressante, point positif de donner le programme à l’avance, cela permet d’organiser sa journée au mieux. Merci pour cette proposition de journée!

Parfait.

« 3ème rencontre autour de la fertilité »

Accueil agréable. Explications intéressantes. C’est parfait.

Écoute attentive

« 3ème rencontre autour de la fertilité »

Très bon encadrement du personnel. Proximité du personnel, écoute attentive.

Disponibilité

« 3ème rencontre autour de la fertilité »

Disponibilité des spécialistes

Échange

« 3ème rencontre autour de la fertilité »

Accueil agréable. Une écoute bienveillante. Échanges simples et faciles avec les professionnels de santé.

Enrichissant

« 3ème rencontre autour de la fertilité »

Enrichissant. Super accueil. Bien informé.

Intéressant

« 3ème rencontre autour de la fertilité »

Orientation efficace, très bon accueil, interventions intéressantes.

Visite du laboratoire

« 3ème rencontre autour de la fertilité »

Visite du laboratoire très intéressante. Beaucoup de professionnels différents à notre écoute. Bien encadré.

A renouveler

« 3ème rencontre autour de la fertilité »

RAS. Journée très positive et enrichissante. A renouveler plus souvent peut-être.

Intervenants

« 3ème rencontre autour de la fertilité »

Intervenants très intéressants, programme détaillé, parcours fléché, personnel très accueillant et avenant.

Accueil chaleureux

« 3ème rencontre autour de la fertilité »

Bonne écoute des professionnels et accueil chaleureux.

4 ans d’essais et 2 ans de PMA

Je voudrais remercier le Dr X pour tout ce qu’elle a fait pour nous après 4 ans d’essais et 2 ans de Pma. Elle a su nous prendre en charge rapidement sans perte de temps. Grâce à elle, aujourd’hui nous avons la chance d’avoir un petit garçon.

Jamais je ne pourrais assez la remercier pour cela. Elle a su cibler le problème et tout mettre en oeuvre pour battre ce que la nature fait malheureusement de notre corps pour certaines femmes. Mille merci. A toutes ces femmes je voudrais leur dire de ne jamais perdre espoir, même si l’on peut passer par des moments de tristesse. Encore merci Docteur.

Merci pour votre travail! 2 bébés en deux ans beaux et en parfaite santé !

Pour nos deux PMA nous n’avons rien gardé secret pour que notre entourage comprenne que c’est un parcours mais aussi que nous avons une horloge biologique ou parfois d’autres difficultés qui peuvent retarder un projet de grossesse ou le rendre inexistant. Heureusement qu’il y a des professionnels de santé qui nous ont permis d’accéder à la PMA qui nous avait été refusée ailleurs.

Nous sommes reconnaissants envers le docteur X en particulier et son équipe ainsi qu’au professeur Y qui nous a orienté vers cette clinique.
Il nous a permis de réaliser notre projet de famille qui se limitait à un bébé et qui nous a permis d’aller au delà de nos espérances avec un second, un garçon en plus. Une petite fille brillante et en pleine santé et un beau bébé.
Merci à tous.

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